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Gesté et les églises en danger sur France 3.

Publié le par culture

 

Toujours les mêmes excuses: coût de l'entretien, bâtiments vétustes, fragilité du tuffeau, sous entendu constructions bâclées. Comme si les architectes du XIXème siècle avaient bâti des châteaux de sable sans envisager la durée de leurs oeuvres architecturales et religieuses.

Il est curieux que le tuffeau pour les églises ne soit pas fiable alors qu'il est de si grande qualité pour les édifices publics et les hôtels particuliers ! Nécessitant pour ces constructions un entretien normal, mais pas pour les églises ?

Et toujours les mêmes estimations "à la louche" entre 2 et 3 millions d'€ de restauration ; si les mêmes "responsables" font effectuer des restaurations sur leurs maisons personnelles, avec de telles estimations, il y a fort à craindre pour leur budget familial !

Enfin les mêmes suspicions vis à vis du Néo-gothique que seuls des sots incultes (pardon pour le pataquès) peuvent commettre sur cet art architectural du XIXème siècle.

 

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Le sort de l'église de Gesté trouble-t-il les esprits fragiles?

Publié le par culture

La Chapelle Saint Pierre ès Liens (à Gesté l'église était baptisée: Saint Pierre aux Liens !) de Reynald Secher a, une nouvelle fois,  été vandalisée.

Cordelier aurait-il fait des émules ???

 

 

Le sort de l'église de Gesté trouble-t-il les esprits fragiles?
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Gesté: DAME EGLISE N'EST PLUS.

Publié le par culture

Que se passe-t-il, j'ny comprends rien, y'avait une église (emprunt à Claude Nougaro).

Gesté: DAME EGLISE N'EST PLUS.

MERCREDI 28 AOUT

Gesté: DAME EGLISE N'EST PLUS.

OCCAMAT ET SON SLOGAN

 

Gesté: DAME EGLISE N'EST PLUS.

OCCAMAT ET SES APPLICATIONS

Y'avait une église.......et y'a plus rien  !!!

Gesté: DAME EGLISE N'EST PLUS.

Réflexion:

Destruction d’une église : l’exemple de Gesté (49). Quelle réaction des catholiques ?

A Gesté, le 1 février 1794, l’armée des Révoltés Vendéens commandée par Nicolas Stofflet inflige une lourde défaite aux troupes républicaines qui, le 5 février, commandées par un lieutenant de Turreau, Cordelier, reprennent le bourg, massacrent les habitants et mettent le feu aux maisons ainsi qu’à l’église du XVème siècle. Au Plessis 300 personnes sont fusillées ; essentiellement des enfants, des femmes, des vieillards. Il est utile de préciser  que ces victimes n’étaient pas des combattants !

La restauration du bourg va se faire doucement ; l’église est « replâtrée » à partir de 1802, la nef est finalement reconstruite en style néo-roman à partir de 1843 ; un nouveau clocher est inclus dans la construction. La consécration de cette partie a lieu  en 1851. L’architecte est Ferdinand Lachèze. Un nouvel architecte agrandit l’édifice une seconde fois en style Néo-gothique. L’église Saint Pierre aux Liens est consacrée par l’évêque du Mans Mgr Charles Fillion et Mgr Guillaume Angebault évêque d’Angers. Huit autres églises portent ce vocable en France.

Le style Néo-gothique, décrié par les ignorants ou par les destructeurs en puissance, est un art architectural à part entière. Il s’inspire du gothique par l’élévation de ses voûtes, l'utilisation de la croisée d’ogives,  et la finesse des structures. L’utilisation de la brique creuse permet de diminuer la poussée de la voûte sur les murs, ne demandant ainsi que de fins contreforts et diminuant le coût de construction. Nouveauté: La charpente associe les poutrelles métalliques et le bois : élasticité, résistance aux bourrasques, homogénéité de l’ensemble de la couverture qui culmine à grande hauteur, pression moindre du poids de la charpente sur les murs.

Mais un minimum d’entretien est nécessaire comme pour toute construction !

Rien que dans le Maine et Loire trois églises du XIXème siècle, non classées pour l’instant, sont sur la liste des prochaines euthanasiées avec l’assentiment de l’évêché (qui pourrait devenir ainsi un des principaux actionnaires de l’entreprise de démolition Occamat) : Une dans les Mauges (mais cela m’a été démenti, pour l'instant, par le Secrétaire de Mairie) et deux près de Segré (Sainte Gemmes d’Andigné et La Ferrière de Flée) et une du début XXème : l’église Saint Hilaire de Mortagne-sur-Sèvre en Vendée. D’autres sont visées en d’autres régions de France, celles qui sont classées sont protégées. Pour l’instant.

Toutes les églises du XIXème siècle on été financées par leurs paroissiens. La connaissance de ces divers éléments : construction, style, financement, entretien devraient être connus par les catholiques (et par les municipalités) même si certains clercs veulent les ignorer.

Les catholiques devraient aussi savoir que les églises ne sont pas des édifices ordinaires : Elles ont une âme, elles sont une personne. En latin église se dit ecclesia (genre féminin) et non templum (neutre). C’est pour cela qu’avant leur entrée en fonction elles reçoivent l’onction sacrée du Saint-Chrême, ce qui n’est pas le cas pour une chapelle ordinaire simplement bénite. L’église aurait du être désacralisée puisqu’elle allait être détruite. L’évêque Delmas dit que non car sur le même terrain sera reconstruite une église. L’église qui est consacrée ; le terrain n’est que bénit. De plus ce n’est pas une église qui sera rebâtie mais « un lieu de culte » comme cela me fut précisée par deux adjoints au maire, le lundi 26 août, en mairie.

Ceci montre la méconnaissance des règles canoniques ; que les fidèles de base ne les sachent pas, c’est acceptable. Que le clergé, évêque du Maine et Loire en tête, l’ignore, c’est grave car il participe à des actes sacrilèges de profanation. Ce cas n’est pas isolé.

La responsabilité de Pierre Pouplard, curé est grande ; il a fait miroiter le fait d’une église « sympa », conviviale, bien chauffée. A sa suite certains « catholiques » dont un ancien Conseiller municipal (ayant lui-même détruit son château du XIXème, celui de ses ancêtres) qui avait monté un dossier pour la destruction dès 1995 !

Quand au Premier magistrat de la commune, Léger, sa responsabilité est totale ; de plus, il s’est carrément assis sur les décisions des organismes représentatifs et de celles de la Justice !

Que faire ? Le laxisme et l’anesthésie sont généralisés dans notre pays. Dans le cas de municipalités décidées à détruire une église, l’opposition n’est pas de tout repos. Gesté est emblématique du climat pourri – avec hélas ! l’aide du prêtre affectataire - créé par l’existence d’un climat diffamatoire contre les opposants à la destruction (voir article de Presse ci-dessous) Je l’ai constaté ayant moi-même entendu, hier, un : « qu’est ce que ça peut vous faire, vous n’êtes pas de Gesté !» balancé par une responsable de l’Equipe d’Animation Paroissiale ; et une autre : « avec les piliers on ne voyait rien » ! (avec cette dernière saillie, c'est l'ensemble des églises nationales qui est visé!).

Mémoire Vivante du Patrimoine Gestois, s’est bien battue sur le plan légal pour défendre l’église ; elle avait même proposé de participer aux frais de restauration : elle en avait amplement les moyens. Elle est pour moi une référence. Mais ce n’est pas suffisant.

Avant toute chose, lorsque l’Association de défense du patrimoine est constituée, il faut exiger du maire un référendum comme à Plounerin ou à Plouagat, dans les Côtes d’Armor ; dans le secret de l’isoloir les gens retrouvent, souvent, le courage de leurs opinions. Lorsque l'on a un maire intelligent, non obsédé de destructions, soucieux du patrimoine de sa commune, tout s'arrange. Et lorsqu’il faut payer la note on s’aperçoit, comme à Plounerin, que le devis de réparation avait été sérieusement gonflé. Qui triche ? Les Destructeurs, les architectes reconstructeurs ?

A Gesté, la démolition de l’église a été faite, sur un coup de force, dans l’illégalité la plus totale dans la désobéissance à l’interdiction de démolir (DRAC, Conseil d’Etat, Tribunal administratif de Nantes, Juge des Référés). Un gendarme auprès duquel j’évoquais ce fait me répondit que j’avais raison mais : « je me voyais mal emmener le maire les menottes aux poignets ».

Il faut constituer des Associations de défense, voire engager des Associations dont ce n’est pas la destination à s’en occuper. Ce qu’a fait le Souvenir Chouan de Bretagne au nom de ses statuts culturel et historique.

Ensuite il ne faut pas hésiter à exiger des mairies l’entretien des églises au titre de leurs obligations à l’égard d’édifices volés en 1905, exiger des devis de réparation par plusieurs entreprises, comme cela n’a pas été le cas à Gesté, « tourmenter » l’évêque du lieu et le curé concerné, tous deux affectataires, et dont l’avis est important dans la décision finale.

Enfin rappeler, comme je l’ai fait à Gesté, que l’édifice reconstruit ne peut pas être une église : c’est interdit par la Loi de 1905. Ce sera un lieu de culte. Alors pour quel culte ? Pour la Scientologie, les Témoins de Jéhovah, les protestants, les musulmans, les Catholiques ?

L’église de Gesté n’est plus maintenant qu’un souvenir, il en reste de nombreux documents visuels ; il faut maintenant éviter que son sort ne devienne celui d’autres églises. Ces édifices sont l’âme d’une ville ou d’un village, un repère dans le paysage, une page de l’Histoire de lieux, ils sont installés dans des communes mais ils appartiennent au département, à la région, au pays tout entier, au patrimoine.

Au patrimoine mondial même: le trésorier de MVPG m'a confirmé qu'un organisme des U.S.A pouvait donner 500 mille dollars pour réparer l'église de Gesté. Le Maire, Turreau-Léger, a refusé.

Gesté: DAME EGLISE N'EST PLUS.

Il manque un élément dans ce texte que le journaliste n'a pas retranscrit. C'est un propos tenu par un municipal adjoint :"C'est MVPG qui a mis la Pierre d'autel dans les gravats".

Effectivement, dimanche 25, une Pierre d'autel a été trouvée dans les débris-gravats ainsi que quelques éléments liturgiques (bourses pour Corporal, voiles de calices, manipules, un plateau de communion), ainsi qu'un ex voto à Notre Dame. Le tout filmé par France 3.

Voir clichés ci-dessous.

Gesté: DAME EGLISE N'EST PLUS.
Gesté: DAME EGLISE N'EST PLUS.Gesté: DAME EGLISE N'EST PLUS.
Gesté: DAME EGLISE N'EST PLUS.
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Dame église de Gesté : Martyre de Septembre.

Publié le par culture

Bien sûr il ne s'agit pas d'une martyre de Septembre 1792 : elle a été martyrisée la première fois le 5 février 1794 par la Colonne Infernale de Cordellier (ou Cordelier mort en juillet 1845 date à laquelle était inaugurée la nef néo-romane de la nouvelle église, dont il avait détruit la précédente, laquelle a été détruite par son successeur Léger le 20 juin 2013) sous les ordres du général Turreau.

Mais aujourd'hui, en ce 4 septembre 2013 elle a été définitivement abattue, euthanasiée, par un coup de force municipal remontant au 19-20 juin 2013 en totale infraction avec la Loi, selon la décision prononcée par le Président du Tribunal Administratif de Nantes en 2012. Le général en chef, maire de la commune depuis 2008, s'appelle Turreau-Léger.

Le Souvenir Chouan de Bretagne a été présent tous les jours sur le site en compagnie de quelques Membres de l'Association de la Mémoire Vivante du Patrimoine Gestois.

Des articles viendront vous raconter ces 8 jours passés pour accompagner dans la mort cette "vieille" Dame euthanasiée par la bêtise (il y a un mot plus fort en langage populaire!), la méconnaissance de l'art architectural du XIXème siècle et le mépris de la Mémoire des Anciens qui, il y a 150 ans se sont "saignés aux quatre veines" pour offrir à Dieu et à leur population une belle église.

Clichés ci-dessous : Avant Léger, l'héritage de Léger et l'héritage que laisse Turreau-Léger.

Dame église de Gesté : Martyre de Septembre.
Dame église de Gesté : Martyre de Septembre.
Dame église de Gesté : Martyre de Septembre.

Lundi 26 le compte-rendu dans le Courrier de l'Ouest:

Dame église de Gesté : Martyre de Septembre.

N'hésitez pas à lire les commentaires de la Rédaction du "Courrier de l'Ouest". Ils fleurent bon l'objectivité journalistique. Si si !

Petit rappel : D'après ses statuts le Souvenir Chouan de Bretagne est une Association à but culturel et historique. Un nouvel alinéa sera ajouté bientôt, selon la décision de l'Assemblée Générale. Et ce sera une surprise pour notre genre d'Association.

Le Souvenir Chouan de Bretagne n'a pas pour vocation les inaugurations de plaques et les défilés en costume folkloriques, ce qui est très bien.

Mais il est mieux de rappeler ce qui s'est passé il y a 221 ans et d'analyser les similitudes avec les temps actuels et le fait qu'il y a 221 ans les Chouans se sont soulevés au nom de leurs libertés y compris la liberté religieuse.

Quant aux habitants de Gesté ils découvriront que la reconstruction du bâtiment sur l'emplacement de leur église sera celui d'un lieu de culte et non celui d'une église comme cela me l'a été dit lors de ma réception en mairie de Gesté lundi 26 août. Si cet édifice avait été une église, jamais la municipalité n'aurait pu le financer, la Loi de Séparation de l'Eglise et de l'Etat l'interdisant formellement.

Or, un lieu de culte et une église, ce n'est pas la même chose !!!

Ce qui confirme donc le fait que l'église aurait du être désacralisée, ce qui n'a pas été fait. La preuve : l'expulsion du Fils de Dieu dans un tracto pelle après les débuts de la démolition de l'église le 20 juin 2013 et la découverte, grâce au Souvenir Chouan de Bretagne - seule Association présente dimanche 25 août avec MVPG - par un Membre de cette association d'une Pierre d'autel consacrée et de quelques ornements liturgiques.

Récit à suivre.......

 

Dame église de Gesté : Martyre de Septembre.
Dame église de Gesté : Martyre de Septembre.
Dame église de Gesté : Martyre de Septembre.
Dame église de Gesté : Martyre de Septembre.
Dame église de Gesté : Martyre de Septembre.
Dame église de Gesté : Martyre de Septembre.
Dame église de Gesté : Martyre de Septembre.
Dame église de Gesté : Martyre de Septembre.
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Gesté: EUTHANASIE DE DAME EGLISE.

Publié le par culture

DIMANCHE 25 Août 12 H 15. Un temps pas terrible, pluie, bruinasse, température plutôt fraîche ; mais il ne faut pas désespérer car les services Météo de Sainte Claire ont été sollicités par ses Sœurs Clarisses de Nantes à la demande du Souvenir Chouan de Bretagne. Sainte Claire sera exacte au rendez-vous, pour la 24 ème fois,  avec un ciel superbe d'un très beau bleu et un soleil éclatant dès 12 h 30, heure fixée pour notre Pique Nique de protestation à côté d'une Dame de 150 ans condamnée à mort par la Colonne Municipale de Turreau-Léger.

Partout ailleurs il pleut, le second vigile me le confirmera à 15 H 30.

Gesté: EUTHANASIE DE DAME EGLISE.

A notre grand étonnement, dans la ceinture métallique qui entoure la vieille Dame gravement blessée lors de l'attaque diurne, le 29 juin dernier, par une bande de municipes vandales, le portail est grand'ouvert. Après demande faite auprès de lui, le vigile nous confirme la possibilité d'accès sauf aux endroits ayant déjà fait l'objet de coups et blessures. Nous profitons de l'aubaine pour abandonner l'idée de nous restaurer afin d'avoir plus de temps pour constater les blessures faites à la vieille Dame. Nous constatons que le processus d'euthanasie est engagé de façon quasi irréversible.

Nous sommes une douzaine (et non moins de 10 comme l'écrit le journaliste du "Courrier de l'Ouest", chiffre avant son départ). C'est peu, très peu, pour assurer de notre affection la vieille Dame et dissuade totalement de brasser autant d'air pour une ridicule mobilisation qui a bien dû faire sourire l'état-major de Turreau-Léger. Qu'importe ! Ce pique-nique de protestation a eu lieu !

Mais cet accès en si petit nombre aura permis de découvrir quelques signes de précipitation dans la hâte de tuer la vieille Dame (qui n'a qu'à peu près 150 ans) avec comme témoins les deux journalistes de France 3, la journaliste de Ouest-France, les deux journalistes du Courrier de l'Ouest et de leur faire un cours-léger (!)- de Droit canonique, preuves à l'appui.

La première surprise est de voir au fond du choeur l'autel majeur dit perpétuel, celui  auquel on ne touche jamais. Il est là recouvert de gravats, vu de loin car le vigile ne veut pas que l'on s'approche. L'autel principal (datant du changement de rite vers 1970) a été démoli en début d'année. L'autel majeur est toujours là.

Deuxième surprise: un de nous trouve dans les tiroirs du meuble à ornements (qui, intact, va disparaître sous la "pioche des démolisseurs") des manipules, des étoles et des bourses (pour ranger le corporal) de style "roman".

Ainsi qu'un plateau de communion de forme ovale en métal doré.

La troisième surprise, et de taille: une Pierre d'autel trouvée dans les débris-gravats. Elle contient encore ses reliques, le cachet de cire fermant l'orifice où elles sont déposées en fait foi.

Gesté: EUTHANASIE DE DAME EGLISE.Gesté: EUTHANASIE DE DAME EGLISE.

Nous avons largement le temps de constater  que la "vieille" Dame est en parfaite santé et pourrait résister des siècles aux maléfices des temps...mais pas à ceux qui ont décidé de la détruire.Quelques petits ennuis de santé suite à l'absence de soins temporaires et réguliers - tuffeau fragilisé pour raison de chéneaux devenus des jardinets d'où des fuites dans la charpente, ardoises envolées etc..- mais tue-t-on pour des caries dentaires ou pour de la calvitie ?

Sur le point de quitter la malade-condamnée contre sa volonté, le vigile qui vient relever son collègue s'étonne du beau temps qu'il y a sur Gesté. A mon évocation de Sainte Claire il sourit, malgré sa culture africaine.

Pendant que nous discutons quelques gouttes tombent et il me dit:" Votre truc ça n'a pas marché tout le temps!". Regardant l'heure je lui réplique que j'avais dit à Soeur Chantal que notre réunion se terminait vers 16 H et que Sainte Claire avait deux minutes de retard.

La trombe d'eau qui se déversa nous transperça en quelques minutes avant que nous ayons eu le temps de rejoindre nos véhicules.

Et ce phénomène a pu être constaté par d'autres, à Gesté, ce jour là.

Nous fûmes peu nombreux mais nous avons rempli notre devoir de visite aux malades !

La suite, demain.

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