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ÎLE DE Ré....MÉMOIRE SÉLECTIVE Ré publicaine, Ré visionniste!!!

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ÎLE DE Ré....MÉMOIRE SÉLECTIVE Ré publicaine, Ré visionniste!!!

Sur la Cinq, ce soir, à 22 heures, une émission sur l'Île de Ré, en Charente maritime. Le Fort de Saint Martin de Ré est évoqué pour les 500 bagnards, condamnés de Droit commun qui transitèrent là avant de rejoindre les bagnes de Nouvelle Calédonie ou de Guyane. La majorité avait un casier judiciaire.

Mais pas un mot, pas un, sur les prêtres et religieux entassés au même endroit entre 1797 et 1802, au nombre de 1023 (pour moins de 500 places) dont 61, mentionnés sur le mémorial, en réalité selon la liste 68, sont décédés dans des conditions épouvantables ; car on les avait mis là dans des conditions impitoyables pour "crever".

Pour quelle raison ? Ne pas avoir prêté le serment à la Constitution civile du clergé et au dernier venu, en septembre 1797, de haine à la royauté !

Il ne faut pas compter sur les divers Mélencon, son porte-parole Alexis Corbière (celui qui veut faire baptiser une rue de Paris du nom de Robespierre), l'impeillable Peillon et consorts, pour rétablir la vraie vérité historique de la mémoire de ces martyrs !

 

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AIME PICQUET DU BOISGUY (1776 – 1839), nuit du 17 -18 mars 1797.

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AIME PICQUET DU BOISGUY (1776 – 1839), nuit du 17 -18 mars 1797.

Cette nuit, il y a 220 ans, alors qu’il n’a pas repris les armes après avoir fait sa soumission le 26 juin 1796, Aimé Picquet du Boisguy (ou Bois Guy) -21 ans - est capturé par les troupes du Directoire dans son manoir, où il réside avec sa mère et son frère Louis. Il est emmené à Saumur et enfermé dans la tour de la Grénetière (ou Grainetière) du château.

AIME PICQUET DU BOISGUY (1776 – 1839), nuit du 17 -18 mars 1797.

Il « chouanne » depuis l’âge de ses quinze ans ; il n’a jamais été intercepté. C’est en pleine pacification qu’il a été odieusement fait prisonnier.

Il n’entretenait plus aucune action contrerévolutionnaire respectant sa parole donnée. Mais cette interpellation illégale va, une nouvelle fois, lui montrer le peu de crédibilité à apporter aux promesses de la république. Cependant il lui faudra attendre plusieurs mois avant de manifester son désenchantement

Il est devenu, le 7 septembre 1796, le beau-frère de Toussaint du Breil de Pontbriand qui, âgé de 20 ans, a épousé sa sœur Colette Apolline Picquet du Boisguy (21 ans). Toussaint est son compagnon d’armes depuis des années. Ce dernier intercèdera en faveur de son beau-frère auprès du général Gabriel de Hédouville, chef d’Etat-major de Hoche, sans aucun succès : les ordres d’arrestation et d’incarcération venaient directement du Directoire. Il sera seulement autorisé à sortir dans Saumur.

En janvier 1799 il sera enfermé de nouveau dans la tour Grénetière ; c’est seulement en septembre 1799 qu’il parviendra à s’en échapper en sautant, se causant une luxure du ménisque droit après une chute d’une quinzaine de mètres.

Son grand oncle Toussaint-Guillaume Picquet de La Motte (1720-1791), dit La Motte-Picquet, Lieutenant général des Armées navales, de la branche aînée des Picquet, les La Motte, voulait qu’il fasse une carrière navale, l’y trouvant prédisposé, lui le benjamin de la branche cadette. C’est la révolution qui l’en empêchera.

Son ascendant en fera le supérieur de ses deux frères plus âgés, Guy qui sera tué à 23 ans lors du premier combat de La Piochais, le 24 juillet 1795, alors qu’il poursuivait à cheval les Bleus fuyant et Louis âgé de 23 ans au moment de l’arrestation de son frère. Louis mourra en 1804 des suites d’un emprisonnement ayant aggravé l’état de l’amputation du bras droit qu’il avait subie suite à une grave blessure reçue lors du combat du Châtellier le 12 juillet 1794.

Le 12 août 1815 il écrit au comte d’Artois :

« Monseigneur,
J'ai 39 ans et depuis l'âge de 15, je sers sa Majesté, toujours sous les armes, en prison ou en surveillance. J'ai moi-même formé et organisé les légions royales de Fougères et Vitré, fortes de 7 000 hommes, je les ai commandées dans près de 300 combats. J'aurais encore commandé dans cette dernière campagnes les forces royales d'Ille-et-Vilaine, mais, étant tombé malade au départ du Roi, je fus arrêté en cet état et conduis, par ordre de M. Réal, dans les prisons de Paris, où je fus détenu jusqu'au retour de Sa Majesté. Je brûle du désir de servir mon maître. Je demande à être employé dans sa garde suivant mon grade. Je puis répondre qu'aucun Français ne servira sa Majesté avec plus de zèle et de dévouement.


Picquet du Boisguy, Maréchal de camps »

Ce héros chouan fut un combattant redoutable. Il eut l’idée d’entraîner ses Chouans aux manœuvres militaires lui qui n’avait pas de formation militaire stricte à part celle d’être, très jeune, un excellent chasseur. Il a à son actif, avec ses frères : la Crois Bataille près de Laval où ils mirent en déroute Westermann, la bataille d’Entrammes, la bataille de Dol, Angers le 3 décembre 1793, Le Mans les 12 et 13 décembre ; toujours ils combattent héroïquement. Il aura l'idée de créer un uniforme, l'uniforme des Chouans de Fougères.

"Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années" !

Nous lui rendrons hommage lors de notre Assemblée générale, le samedi 1 juillet, dans le Pays de Fougères en mettant le maximum de nos pas dans les siens.

AIME PICQUET DU BOISGUY (1776 – 1839), nuit du 17 -18 mars 1797.AIME PICQUET DU BOISGUY (1776 – 1839), nuit du 17 -18 mars 1797.
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PONT DU LOC'H, SAMEDI 11 MARS 2017

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Le Conseil d'administration du  Souvenir Chouan de Bretagne s'est réuni, samedi 11, pour sa session semestrielle.

Les débats du C.A du SCB étant clos, hors discussions de l'Association, ont été évoqués les divers faits du procès du 6 février 2017 devant le TGI (Tribunal de Grande Instance) de La Roche sur Yon concernant la plainte d'un particulier pour abus de confiance et détournements de fonds du public par une personne alors présidente d'une association et finalement relaxée ; les témoignages de moralité d'un écrivain et de deux anciens membres du bureau du SCB en faveur de la prévenue ont été divulgués. Un des membres présents, ancien Haut magistrat, a exprimé son opinion.

Notre réunion s'est tenue à l'Auberge du Petit Verger à Monterblanc où nous fut servi un succulent déjeuner (d'après l'avis des 12 convives).

Après ces agapes roboratives nous sommes partis pour Mangolérian, un des hauts lieux du soulèvement des Révoltés, en découvrant, au passage, les sites de stationnement des appareils de la Luftwaffe lors de la guerre 1939-1945 (marqués par des chemins bétonnés et les restes de rotonde d'époque; nous sommes à proximité de l'aérodrome de Meucon).

Evocation de la bataille de Mangolérian, près de la chapelle,  à l'initiative d'Auguste de Béjarry, Joseph de Fay, du chevalier de Geslin (rescapés des massacres de Savenay), ayant convaincu Georges Cadoudal et Pierre Guillemot d'attaquer Vannes. Les Chouans seraient au nombre de deux mille et les Bleus 200 soutenus par une trentaine de cavaliers .

N'en veuillons point aux Chouans qui sont plus habitués à traquer le lièvre ou le gabelou ; aux premiers coups de fusil ils prennent la fuite. Seuls quatre cents tiendront tête et finiront par s'égailler. Cette bataille, qui a eu lieu le 15 mars 1794, fera en ce jour et dans les jours suivants une vingtaine de morts, souvent assassinés.

Nous partons ensuite pour le Pont du Loc'h où le Souvenir Chouan de Bretagne a inauguré le 2 juillet 2000 un menhir rappelant ce deuxième combat militaire (le premier étant Carnac-Quberon en 1795) où deux armées (les Bleus et les Chouans) se sont affrontées le 25 et le 26 janvier 1800. De stupides personnes continuent à parler de défaite des Chouans. On n'a jamais vu un vainqueur (les Bleus) abandonner les fruits de son pillage, ses blessés et ses morts dans un combat victorieux. On n'a jamais vu un vaincu récupérant le butin volé et abandonné par les vainqueurs ; on n'a jamais vu un vaincu enterrant les morts et les blessés abandonnés par le vainqueur sur le terrain de sa victoire. On n'a jamais entendu dire qu'un vainqueur ait donné quelques sous à un vainqueur, comme l' a fait Georges,  pour qu'il puisse rentrer chez lui !!!

Au pont du Loc'h nous avons procédé à la restauration de notre monument vandalisé en 2015 ; le coeur du Sacré Coeur avait été brisé à coups de pierres.

La veille, vendredi matin, brossage de la métallerie et peinture anti-rouille.

 

PONT DU LOC'H, SAMEDI 11 MARS 2017

Récupération à Moncontour des deux coeurs (un à poser et un autre en réserve) en finition de refroidissement (quatre jours de chauffe et quatre jours de refroidissement. Rendez-vous avec Jackez (l'artiste qui a conçu notre monument) à 16 heures pour la répétition de mise en place pour les ultimes détails.

Samedi 16 heures, pose du coeur dans la métallerie, devant vingt personnes, lui donnant son image de Sacré-Coeur. L'évocation de la Bataille est faite avec la situation des combattants et des Chouans dirigés par Georges, Pierre Guillemot, La Haye Saint Hilaire, Sol de Grisolles, Gambert, Le Louër etc.

PONT DU LOC'H, SAMEDI 11 MARS 2017PONT DU LOC'H, SAMEDI 11 MARS 2017PONT DU LOC'H, SAMEDI 11 MARS 2017

Notre journée s'est terminée à 18 heures, après le chant du Da Feiz on Tadou Koz, suivi du cidre de l'amitié et ses galettes bretonnes et du cidre, maison,  offert par un riverain et surveillant de notre monument du Souvenir.

Remerciements à sainte Claire et à ses Soeurs Clarisses de Nantes qui, pour la trentième fois, nous ont assuré un temps splendide.

Merci à Vendéens et Chouans qui a, amicalement,  relayé notre information.

Nous n'étions pas nombreux mais la qualité était là ! Et pas un parasite !!!!

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MONUMENT DU PONT DU LOC'H à GRAND CHAMP (56)

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MONUMENT DU PONT DU LOC'H à GRAND CHAMP (56)MONUMENT DU PONT DU LOC'H à GRAND CHAMP (56)

En juin 2016 il était constaté que le monument érigé sur le site de la Bataille du Pont du Loc'h, territoire de la commune de Locmaria-Grand Champ dans le Morbihan, avait été endommagé par d'imbéciles vandales.

Le Sacré-Coeur en pâte de verre, placé dans l'oculus, avait fait l'objet d'un véritable acharnement. La quantité de pierres, de tailles diverses, et le nombre d'impacts sur les parties subsistantes en faisaient la preuve.

Alors bêtise ou attentat anti-Chouans ?

Samedi 11 mars à 16 H, après la réunion du Conseil d'Administration du Souvenir Chouan de Bretagne à Monterblanc, un nouveau coeur sera installé par celui qui avait conçu (et installé) ce monument d'un poids de 6,6 tonnes et d'une hauteur hors sol de 2,50 mètres.

Ce monument a été inauguré, après une messe solennelle en plein air et sous l'averse, le 2 juillet 2000; près de trois cents personnes s'étaient déplacées pour cela. Samedi nous serons une quinzaine !

Traitée toujours d'épisode controversé de la Chouannerie, la Bataille du Pont du Loc'h est pourtant à qualifier de victoire des Chouans même si des écrits récents parlent toujours de défaite des Révoltés. Ce serait bien la première fois de l'Histoire que l'on noterait le départ précipité des vainqueurs du champ de bataille, abandonnant sur place leurs blessés et leurs morts victorieux, abandonnant même les charrettes de nourriture volée aux habitants du pays.

Ce serait bien aussi la première fois que l'on verrait les vaincus, occupant le terrain de leur défaite, dans un geste magnanime, enterrer leurs vainqueurs ! Et pourtant des gens "qui savent" continuent à propager cette ineptie !

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3 MARS 2017

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A 15 H, heure de son exécution, le Souvenir Chouan de Bretagne a déposé une gerbe devant la châsse du Bienheureux Pierre-René Rogue dans la cathédrale de Vannes.

3 MARS 2017

L'an dernier, l'abbé Amaury Brillet avait célébré la messe, telle que la célébrait le Père Rogue, sur l'autel sous lequel se trouve la châsse du Bienheureux. Cela devait faire un sacré moment que cela n'était pas arrivé !

3 MARS 2017

C'est en ce jour anniversaire qu'est arrivée la nouvelle Revue du Souvenir Chouan de Bretagne dans laquelle figure un article de quatre pages et demie sur les derniers instants du futur martyr et Confesseur de la foi, en mars 1796.

Mais vous trouverez aussi, dans les 71 pages de La Revue une chronologie des événements de 1796 dont l'interrogatoire et  l'exécution de François Athanase Charette de La Contrie, le Martyre de différents prêtres de Bretagne et d'autres endroits de France en particulier à Vesoul, ou bien dans le Maine.

Il y a le Comte d'Hector mais aussi Danton et son manège avec les royalistes ; et puis il est question de la maîtresse de Jean-Nicolas Stofflet. Comment la croix pectorale de Monseigneur de Hercé est arrivée sur la poitrine de Monseigneur Centène ?

Des sujets variés, bons pour la culture générale de la contre-révolution ! Et une meilleure connaissance de ces fameuses "Valeurs de la république" tant revendiquées par nos hommes politiques actuels !

3 MARS 2017
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LIBERTÉ, LIBEEERTÉEEE CHERIIIIIEEEEEE.........

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LIBERTÉ, LIBEEERTÉEEE  CHERIIIIIEEEEEE.........

La liberté numérique n'existait évidemment pas il y a 225 ans mais il y avait des libertés, dont la liberté religieuse, qui étaient intouchables ; ce fut la raison du soulèvement des Révoltés qui furent ensuite baptisés Chouans ou Vendéens. Pour la Convention les Révoltés sont labellisés "Vendéens" (on parle de la Vendée pour le Sancerrois soulevé, on parle de Vendée pour le courageux Charrier en Lozère etc.), ce qui fait effectivement beaucoup de Vendéens !  

Pour Victor, le roman rédigé en 1872, Quatrevingt-Treize sur la guerre contre les Vendéens se déroule dans les environs de ......Saint Malo. Ah ! Les perles hugoliennes ! Car son 93 en est truffé. Mais on ne commet pas de crime de lèse-Victorhugo.

Une nouvelle atteinte à "Liberté, Liberté Chérie" se profile avec le délit d'entrave numérique. Il est rationnel de pouvoir exprimer son désaccord envers les lois scélérates, particulièrement celles qui concernent la vie. Avortement, GPA, PMA construction d'un être humain robotisé jusqu'à l'absurde; la voiture sans chauffeur étant pour moi un des summum (un puriste dirait summa, summum étant du genre neutre en latin et ce genre n'est pas une théorie !). Je vois mal ce que ferait ma voiture toute seule lors du rassemblement de nos amis du Souvenir Catholique en Languedoc à Saussines ! Et s'arrêter au retour pour choisir des saucissons dans la charcuterie de Nasbinals !

Quel rapport avec la Chouannerie ? Si pour certains la Chouannerie est un moyen lucratif ou folklorique, elle est surtout le mode d'expression d'un désaccord manifesté par ceux qui ne voulaient pas que l'on touche à leurs libertés !

On voit, par ailleurs, les dégâts causés par l'entrave, sous une nouvelle forme: la censure numérique de la connaissance de l'Histoire avec le nom de cette résidence inaugurée pour le 220ème anniversaire de La Terreur en terre de Chouannerie morbihannaise à Lanester. Merci Bertrand pour le cliché.

Allez ! Encore une petit peu d'anesthésie musicale avec des paroles mensongères placées sur de la musique volée, un tout normal pour un régime menteur et privatif de Liberté.

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DESTINÉE : QUAND CE N'EST PAS L'HEURE !

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DESTINÉE : QUAND CE N'EST PAS L'HEURE !

Dans le château d'Oiron, Pierre-Auguste Fournier de Boisairault meurt dans son lit le lundi 23 janvier 1837 après une vie bien remplie, âgé de 68 ans. Une fin assez banale.

Il est né le 1 juillet 1768 à Oiron (Deux-Sèvres).

Il a débarqué à la pointe de la Presqu'île de Quiberon avec les troupes du marquis de Sombreuil et fait prisonnier à Port Haliguen le 21 juillet. Emmené avec ses compagnons d’infortune à Auray ils sont ramenés onze jours après à Saint Pierre Quiberon et passent le 1er août (14 thermidor) devant la Commission militaire Dubois sise en la maison Le Toullec au village de Kéraude. Ils sont 29 condamnés à mort, non pour avoir porté les armes mais pour être des émigrés rentrés.

Ils sont emmenés, à faible distance du lieu de leur jugement, pour être fusillés, sur la plage, au bout de l'anse du Port d'Orange.

Sortons leurs noms de l’oubli.

Il y a là (autant que j’ai pu déchiffrer, sans les écorcher, leurs noms sur le registre « Etat des noms des condamnés à mort par les Commissions militaires ») : 

Jouachim Barrussol, Nicolas Bocquet, Alexandre Bouhier, Jean Boulus, Jean Marguerite-Marie de Brie, Louis-François Christome, Joseph-Marie Guillaume Duaffon, Jean-Baptiste Michel Ducroel, Gabriel Duparrq, Jean-Baptiste Durocheo Duquinguo, Thomas Fruissac, Edme Geneau, Charles Genhault, Henry de Goulène, Casimir Julien Mathieu Harscouet, François de La Barre, Jean-Pierre Alexis (de) Chastegnier de Lagrange, Othon Benjamin de Lostende, Pierre-Hugues Burgaut de Montfort, François Raudi, François de La Roche Villeneuve, Jean-Louis Alexis de La Roche Villeneuv, Armand Rogon, Joseph (de) Savignac, Jean-Baptiste Tardivet, Jérôme-François Veaugeasse, Jean Antoine Cardon de Vidampierre, Toussaint Léonard de La Villéon, Pierre-Auguste Fournier.

Ils sont amenés au bout de la plage du Port d’Orange.

Récit de son épopée par Pierre-Auguste Fournier de Boisairault :

« Après nous avoir fait mettre en rond, on nous lut notre jugement et on nous fit prendre rang à quatre pas les uns des autres ; nous avions quatre soldats pour nous fusiller.

La suite dans La Revue du Souvenir Chouan de Bretagne en cours de publication.

Il meurt donc 41 ans après les faits qui se sont déroulés au Port d'Orange !

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21 JANVIER 1793. UNE MORT IGNOBLE APRES UN PROCÈS INIQUE !

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21 JANVIER 1793. UNE MORT IGNOBLE APRES UN PROCÈS INIQUE !

L'assassinat légal (et illégal tout à fois)  du Roi est basé sur un procès inique dont même les archives de la Justice se souviennent :"Au vu des lois de l'époque, le jugement de Louis XVI ne fut pas d'une totale légalité".

Cet assassinat fait partie des Valeurs de la république clamées haut et fort par des individus qui font de leurs cabinets ministériels ou présidentiel des annexes de Fleury-Mérogis.

Il faut remarquer un point jamais soulevé : toute les condamnations de l'époque étaient accompagnées de la confiscation des biens au "profit de la république" (même pour les prêtres qui n'avaient pas grand chose).

Or rien de cette mention dans le verdict pour le Roi. Bizarrement cette condamnation pour diverses et fausses vilénies reconnaissait, paradoxalement, que le Roi ne possédait rien ; reconnaissait ainsi qu'il n'y avait pas d'enrichissement personnel.

Pour avoir vendu la France à l'Etranger (monuments, banques, commerces etc.) ceux qui ont prétendu gouverner la France depuis 1974 devraient se voir condamnés pour haute trahison et vol en bandes organisées et se voir condamnés à la perte de liberté et à la confiscation de tous leurs biens et avoirs !

Chiche ?

Pourtant là seraient les vraies Valeurs faussement revendiquées de la république.

 

21 JANVIER 1793. UNE MORT IGNOBLE APRES UN PROCÈS INIQUE !

A Vannes, à l'initiative du Cercle Jean-Pierre Calloc'h, un rassemblement d'Histoire était organisé, commençant par la messe célébrée en l'église Saint Patern par son vicaire, l'abbé Amaury Brillet avec une nombreuse assemblée.

L'après-midi une causerie était donnée par Philippe Pichot-Bravard, Docteur en Droit, : Louis XVI face à la révolution suivie par une nombreuse et attentive assemblée.

A Paris, à proximité du lieu de l'exécution du Roi, Marc, Membre du Souvenir Chouan de Bretagne déposait, au nom du Souvenir Chouan de Bretagne, une gerbe.

Si le conférencier n'a pas parlé de l'Armoire de fer qui a livré tant de documents permettant d'accabler, faussement, Louis XVI, celle-ci est utilisée par des personnes n'ayant pas forcément pris les bons renseignements. Ou alors Louis XVI est le premier inventeur de la clé USB permettant de loger une foule de documents dans un petit volume !

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DÉLIQUESCENCE MORALE. QUELLE EPOQUE ! UN CAHUZAC EN MORBIHAN !

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DÉLIQUESCENCE MORALE. QUELLE EPOQUE !  UN CAHUZAC EN MORBIHAN !

La presse locale ayant publié l’information il est possible de publier une réflexion sur un fait dont j’ai pris connaissance en début décembre (2016) ; un fait lamentable.

Si l’on sait que les Associations sont parfois, pour certains, une source d’enrichissement par détournement de l’Actif – des chèques ou des versements – qui s’égarent vers un compte personnel au lieu du compte associatif (comme cela sera jugé le 6 février au Tribunal de Grande Instance de La Roche sur Yon) il est quand même peu fréquent que cela se passe dans l’Eglise, et encore moins réalisé par une autorité diocésaine.

Par décision de Monseigneur Raymond Centène, Evêque de Vannes, le Vicaire-général Maurice Roger a été démis de ses fonctions le 27 octobre (2016). Il lui est reproché de vastes détournements de fonds, au détriment du Diocèse. Ces détournements portent sur des sommes largement supérieures à celles annoncées par Ouest-France !

Le poste de Vicaire-général est le poste le plus important après celui de l’Evêque ; il demande une tenue morale et vestimentaire décente. Or ce n’est pas l’habillement de la personne (jeans et chemise « dans le vent ») ce ne sont pas les frais d’achats de chaussures décentes, de clergyman ou de soutane qui sont la cause de telles sommes volées (car il faut bien appeler un chat, un chat !). Le progressisme de l’individu a du lui faire perdre de vue qu’il n’était pas un homme comme les autres et que son Divin Maître n’avait pas mis un coup de pied dans la table des banquiers du Temple (vers l’an 30) pour rafler la cagnotte ! Maurice a confondu Caisse Diocésaine et Casse !

La morale de cette regrettable affaire ? Un Vicaire-général termine plutôt sur un Siège épiscopal que sur un banc d’accusé, dans un évêché plutôt que dans une prison !

Soutenons Monseigneur Centène qui voit se confirmer, une fois de plus, ce qu’il nous disait à Sainte Anne d’Auray le 16 octobre 2015 pour le dixième anniversaire de son sacre épiscopal : «La croix que je porte (visiblement) sur ma poitrine est bien moins lourde que celle que j’ai sur les épaules ! ». Bon courage Eminence.

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15 JANVIER : SAINT REMI

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15 JANVIER : SAINT REMI

Nous fêtons en ce dimanche l'évêque de Reims qui baptisa Clovis en 496 faisant ainsi de la tribu Franque l'origine catholique fondatrice de la France.

De naissance gallo-romaine, Remi donna le baptême à Clovis, chef de clan, après qu'il eut obtenu la victoire sur les Alamans lors de la Bataille de Tolbiac, en ayant invoqué le Dieu de Clotilde, sa femme. Certains tourneront certainement cette invocation en dérision mais elle n'est certainement pas plus risible qu'un ancien Président de la république, décédé en 1996, qui prenait les conseils d'une cartomancienne pour la  "gestion" de la politique !

Lors du baptême de celui qui allait devenir, par l'onction sacrée, le Premier Roi de France, c'est un geste divin qui déposa le flacon d'huile sainte. C'est stupide ? Pourquoi ? Si l'on croit sincèrement en Dieu, Créateur et Maître de toutes choses, qui a fait toute la Création, depuis les montagnes, les océans, les bestiaux et les bestioles, les mouvements de terrains ayant par la chaleur créé les métaux rares, ce Dieu rebaptisé Être Suprême par Robespierre, quelle difficulté cela lui posait-Il de livrer une huile sacrée ou de rendre enceinte une femme sans intervention humaine ?

Je trouve plus cohérent de croire à cela qu'à la cartomancie dans la gestion politique ; d'ailleurs si cette technique était plus efficace, cela se saurait !!! N'est ce pas ?

Ne serait-ce pas la raison du geste sacrilège de Philippe Rülh  ?

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