ROBESPETROPHILIE
Etymologie: Robes/ Petro de Petrus-Pierre/ φιλω philo aimer.
Mieux que robespierriste, ce mot correspond bien aux amoureux de la philosophie (??) de leur maître, Maximilien de Robespierre. Mieux, ce terme traduit une forme d'addiction comme la drogue ou l'alcool, une dépendance irraisonnée et non maîtrisable par le simple raisonnement.
Qu'ils défendent ses oeuvres est leur droit, que nous luttions contre est notre droit au nom des massacres perpétrés et du sang versé de personnes qui étaient heureuses, quelques soient leurs conditions, dans le milieu où elles vivaient, où elles évoluaient.
Si ces individus, Marc Belissa et Yannick Bosc nous dénient le droit de ne pas être d'accordavec leurs thèses, eux qui se prétendent de grands démocrates au nom de l'ancêtre dont ils se réclament, lequel a établi l'égalitarisme par la guillotine, qu'ils nous laissent quand même nous exprimer.
S'il ne faut que passer sous leurs fourches caudines pour avoir le droit d'exprimer notre désaccord, alors qu'ils obligent l'Université à ne faire appel qu'à des Jurys de thèses qui ne seront composés exclusivement que de membres de la société robespierriste, robespétrophile. Ainsi ils seront assurés d'avoir l'exclusivité de la bonne formation. A ce moment là, ils pourront se regrouper sous le nom d'une société de type soviéto-bolchévique qui aura pour sigle "Pravda" en français "Vérité".
Traitant par la dérision les arguments de Stéphane Courtois, historien dont la réflexion est de haut vol, ceux de Reynald Secher qui mène un combat depuis 27 ans pour une cause qui lui a coûté sa carrière universitaire, ils méprisent, à travers les commentaires de Michel Winock qui est de la même ligne de pensée, l'excellent travail de Franck Ferrand sur la vulgarisation de l'Histoire, très bénéfique.
Leur obséquiosité par rapport à leur maître Jean-Clément Martin fait pitié ; c'est à se demander s'ils n'auraient pas été en meilleur situation chez Baranne et Océdar, le cirage et la brosse à reluire.
Qu'ils vivent du "cirage de pompes" est leur bonheur. Nous, responsables d'associations du Souvenir de ceux qui n'ont pas voulu "cirer les pompes" et sont allés au bout de leurs convictions, quitte à y perdre la vie, nous rappelons leur honneur ; effectivement, ce n'est pas la même cause.
Oser défendre la cause de Robespierre, c'est un peu comme si les allemands défendaient la cause d'Alfred Rosenberg.
Quand à Bélissa qui glose, en quelque sorte, sur Noël Stassinet qui n'est pas historien - qualité dont on l'a affublé à sa grande surprise et qui ayant découvert cette anomalie l'a signalée (mais c'était trop tard) - il n'est effectivement que président du Souvenir Chouan de Bretagne. Que son nom apparaisse sur des sites royalistes -contre sa volonté - n'est pas une maladie honteuse. Ces sites sont plus propres que ceux où apparaissent les noms des robespétrophiles.
Nous sommes, nous, en bonne compagnie avec Georges Cadoudal, Pierre Mercier la Vendée, Sol de Grisolles, Charette, La Haye Saint Hilaire, Pontbriand, Guillemot, Gomez, Boisguy, Tinténiac, Le Louer, Rohu, Gambert, Hermely, de Silz, Stofflet, La Rochejaquelin, Lescure, Gigost d'Elbée, Jean Jan, L'Invincible, Boishardy, Béjarry, Jambe d'Argent, Jean Chouan, Coquereau, Scépeau etc... qui se sont battus pour leurs libertés et leur honneur.
Nous laissons les robespétrophiles avec leurs équipes d'assassins, Desmoulins, Barère de Vieuzac, Saint-Just, Danton, Fouquier-Tinville, Le Bon, Carrier, Chateauneuf-Randon, Fouché, Carrier, Tallien, Blad, Bô, Bourbotte, Cofinhal, Barras, Goullin, Rossignol, Turreau, Amey, Tilly, etc...etc...etc...