L'EAU SERAIT-ELLE NEFASTE AUX MARAT ????
Le Conventionnel régicide Jean-Paul Marat est mort de mort violente dans sa baignoire le 13 juillet 1793, sous le couteau de Marie-Anne Charlotte de Corday d'Armont plus connue sous son appellation résumée: Charlotte Corday.
Marat souffrait d'eczéma, de style herpétique d'après certains, nécessitant de longs séjours dans l'eau seule façon de calmer ses démangeaisons.
Mais il souffrait aussi d'un certain dérangement mental qu'il exprimait dans son journal "l'ami du peuple", dérangement mental dont le traitement efficace et définitif fut le couteau de Charlotte de Corday d'Armont.
La révolution bolchevique, inspirée par la Révolution française et par la Convention en particulier (voir le dernier oiuvrage de Reynald Secher "Vendée, du Génocide au Mémoricide"
donna son nom à un de ses cuirassés le Petropavlovsk.
L'eau serait-elle néfaste au nom de Marat ? Le 23 septembre 1941 les bombes larguées par le Stuka de l'as allemand Hans Rudel coulèrent le porte nom du conventionnel français, suisse de naissance. Son homologue, nommé "Commune de Paris" survécut.
La ville suisse de Boudry a élevé un monument à son héros - on a les héros que l'on peut- monument qui ressemble bien à Marat, de bric et de broc, faisant plutôt référence à de l'art de fumisterie, à laquelle fait penser l'aérateur de cheminée qui le coiffe et évoque le fait que, s'il fut d'une férocité rare dans ses écrits, il avait une tête bien mal ventilée !
Clin d'oeil aussi que ce "monument" dressé dans le ciel suisse qui est là pour rappeler que c'est par ce pays que transitaient les fonds qui, par le biais de la banque Perrégaux, arrivaient des banques anglaises jusque dans son escarcelle.
Chez cet individu, il n'y a pas que la peau qui était malade et pourrie !