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14 JUILLET CATHELINATIONALE.

Publié le par culture

Comme il le fait depuis dix ans, le Souvenir Chouan de Bretagne organise la commémoration de la mort de Jacques Cathelineau. Ce 220ème anniversaire tombe un dimanche, comme en 1793. 

 

14 JUILLET CATHELINATIONALE.14 JUILLET CATHELINATIONALE.

Les autres années, depuis 1994, c'était avec Jean Brochard, merveilleux conteur d'Histoire de la Contre-Révolution.Puis sous l'égide du Comité CélébrationS Charette. Sous des pressions dont certains savent d'où elles viennent, ce Comité dut se saborder. Et c'est ainsi que le Souvenir Chouan de Bretagne a soutenu la journée annuelle d'hommage à Jacques Cathelineau de Monsieur Brochard et a mobilisé à ses côtés. Cette année Monsieur Jean Brochard, dont la santé est fragilisée, ne sera pas des nôtres.

Programme de Dimanche 14 juillet 2013:

-10 H 30, messe traditionnelle en la chapelle Saint Pierre ès Liens à La Chapelle Basse-Mer (route de La Remaudière) célébrée par Monsieur l'abbé Guillaume Loddé.

14 JUILLET CATHELINATIONALE.

-12 H, 'L'Auberge des Brigands" dans le village de La  Boissière du Doré nous accueille pour le déjeuner qui sera précédé par l'Assemblée Générale des "Brigands du Bocage".

- 14 H 30 (ou avant) départ pour Saint Florent Le Vieil. Recueillement sur la tombe de Jacques Cathelineau et de son fils Jacques tué au combat en 1832 par les gendarmes de Louis Philippe.

Des animations par les jeunes enthousiastes et costumés "Brigands du Bocage", soutenus par la veuze du Veuzou, sont prévues.

Nous pourrons ensuite partir pour une balade culturelle en un lieu peu connu.

Il est possible de s'inscrire par le mode "Contact" en haut de cette page, à droite, sous le médaillon d'Armand Tuffin, marquis de La Rouërie.

Participation 26€, Membres SCB 22€, Moins de 18 ans: 10€.

Pour la première fois en 20 ans nous serons rejoints par les Membres de la Chouannerie du Maine.

 

14 JUILLET CATHELINATIONALE.14 JUILLET CATHELINATIONALE.
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GESTé, DANGEROSITé POUR LA COMMUNE : Le maire.

Publié le par culture

Concernant la poursuite de la destruction-profanation du patrimoine historique de Gesté dans le Maine et Loire (l'église néo-gothique du XIXème siècle payée de leur poche par les paroissiens !), le tribunal administratif de Nantes va rendre son ordonnance le 12 juillet prochain.

A la tête de sa Colonne municipale, le maire Léger-Cordelier continue ou reprend le travail de son  prédécesseur en destruction, le général Cordelier qui mit à feu et à sang la paisible commune en février 1794 et détruisit le patrimoine Gestois comme le continua son successeur Baron. Baron engendra Léger. Entre les deux le point commun est Remeau, Premier adjoint qui de sa hargne anti religieuse (avec la complicité du clerc local et de l'évêque Delmas) et a-culturelle (avec la complicité de son inculture) poursuit la destruction du centre historique de Gesté. La Colonne Infernale est maintenant devenue Municipale. Si on laisse faire cet individu, il ne restera bientôt plus rien de l'Histoire de ce joli village des Mauges. Gesté deviendra une commune ordinairement bétonnée et, comme évoqué dans un article précédent, pourra, son clocher étant préservé, avoir  sa mosquée avec son minaret !

Bien lire l'excellent article de Breiz journal car finalement c'est la Bretagne qui défend le patrimoine angevin.

En photo: L'église et ses prédateurs (le maire et le premier adjoint).

GESTé, DANGEROSITé POUR LA COMMUNE : Le maire.GESTé, DANGEROSITé POUR LA COMMUNE : Le maire.GESTé, DANGEROSITé POUR LA COMMUNE : Le maire.
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ATTAQUE DE NANTES, SAMEDI 29 JUIN 1793...suite et fin

Publié le par culture

Le commandant Meuris -ferblantier dans le civil - et ses 500 hommes tiennent fermement le pont sur l'Erdre et ses abords, côté bourg de Nort ; cette position inexpugnable exaspère Jacques Cathelineau qui perd vainement des hommes, un temps précieux, des munitions, sans espoir de changement. Lorqu'une femme s'approche du Généralissime et lui annonce qu'il y a un gué, là-bas, plus haut, à deux kilomètres. Emmenant ses cavaliers, Cathelineau trouve le gué, passe l'Erdre, s'engage dans le chemin creux qui va l'amener dans le centre du bourg , dans le dos des soldats de Meuris.

 

ATTAQUE DE NANTES, SAMEDI 29 JUIN 1793...suite et finATTAQUE DE NANTES, SAMEDI 29 JUIN 1793...suite et fin

Les Gardes nationales opèrent une retraite accélérée qui s'apparente davantage à une fuite ; d'autant que le pont étant maintenant décongestionné l'Armée Catholique et Royale peut s'y engouffrer et prendre, elle aussi, la route de Nantes, dans le dos de ses adversaires.

C'est la ruée vers Nantes de l'Armée Catholique qui traverse les villages et hameaux sans rencontrer d'adversité : le Pas Chevalier, Grands Bois, le Houssay, le bourg de Sucé sur Erdre, le hameau de la Turbalière, les Chapelières. Elle se signe devant les croix rencontrés, passe le pont du ruisseau l'Hocmard, arrive à La Chapelle sur Erdre puis direction Nantes.......

ATTAQUE DE NANTES, SAMEDI 29 JUIN 1793...suite et finATTAQUE DE NANTES, SAMEDI 29 JUIN 1793...suite et fin

.....Les faubourgs de Nantes, le quartier Bel Air, la rue des Hauts Pavés où cette vieille maison (une des seules à subsister) voit passer cette Armée audacieuse qui vient montrer à ces patauds des villes de quel bois on se chauffe à la campagne, lorsque les libertés sont en péril !

ATTAQUE DE NANTES, SAMEDI 29 JUIN 1793...suite et finATTAQUE DE NANTES, SAMEDI 29 JUIN 1793...suite et fin

Au sud Charette est bloqué au Pont Rousseau que les habitants ont barré. Ce n'est pas par enthousiasme qu'ils se défendent mais Beysser, en charge de la défense de Nantes, et en accord avec le maire Baco de La Chapelle, n'a guère laissé de choix par son décret du 28 juin:  "Tout citoyen nantais est et demeurera soldat tant que durera le siège...

1-Tout citoyen, soldat ou officier qui aura abandonné son poste pour songer à sa propre sûreté sera puni de mort.

2-Tout soldat, citoyen, convaincu d'avoir, dans une affaire avec l'ennemi, abandonné ou jeté lâchement ses armes, sera puni de dix ans de fers.
3-Tout soldat trouvé endormi, en faction ou en vedette, dans les postes les plus près de l'ennemi, sera puni de mort. 

4-Il est expressément interdit à toute femme ou fille de paraître à la fenêtre dans les moments d'alarme et de troubler les citoyens par ses cris ; et si, à la troisième injonction, elle n'obéit pas, il est ordonné de faire feu sur elle."

Au nord Fleuriot de la Freulière, second de Bonchamps, sur la route de Paris, est arrivé en face de la maison saint Clément, ancien Grand séminaire, maison de rétention des prêtres réfractaires ou qui, âgés, n'ont pu s'exiler.En vue la cathédrale et juste avant, la colonne sur laquelle il n'y a pas encore la statue de Louis XVI. Ils sont  presque au centre: "On a gagné!"

 

ATTAQUE DE NANTES, SAMEDI 29 JUIN 1793...suite et finATTAQUE DE NANTES, SAMEDI 29 JUIN 1793...suite et fin

Philippe de La Trémoïlle, prince de Talmont, accompagné de Stofflet, est chargé de la route de Vannes (au départ de la rue Félibien vers Savenay), Cathelineau, secondé par Maurice Gigost d'Elbée, s'approche de la place des Agriculteurs, saute de cheval (il en a déjà eu deux de tués sous lui) et se met à la tête de 300 hommes pour prendre ce poste défendu par le 109ème, après lequel s'ouvre la ville, sa municipalité ses provisions, son image forte. La Victoire !

De sa fenêtre un cordonnier guette à sa fenêtre, ajuste celui qu'il pense, hélas avec raison, être le chef tire et atteint Jacques Cathelineau qui s'effondre sous la violence du choc.

 

 

ATTAQUE DE NANTES, SAMEDI 29 JUIN 1793...suite et finATTAQUE DE NANTES, SAMEDI 29 JUIN 1793...suite et fin

Certains parlent d'une blessure au coude ; ce qui est certain est que Jacques Cathelineau n'a été que blessé, et que l'on ne peut, sur l'instant, parler de blessure mortelle. Le terme de grièvement est plus approprié.La balle se serait plutôt logée dans la cavité entre l'humérus et l'omoplate, d'où l'impossibilté de l'extraire ; la gangrène serait l'explication de la mort du grand Jacques dans seize jours.

Les huit heures perdues à Nort sur Erdre, la fatigue supplémentaire s'ensuivant, le rythme qu'il a fallu mener pour essayer de rattraper le temps perdu, sont peut-être les raisons d'un bref moment d'inattention, défaut de vigilance.

Toujours est-il que Cathelineau est blessé, ses hommes vont le ramener à Saint Florent le Vieil, toute l'Armée Catholique, si près du but, fait retraite.

L'erreur de Talmont et de Stofflet a peut-être été de ne pas laisser d'issue de secours en barrant la route de Vannes ? De toutes les façons les citoyens nantais n'avaient pas d'autre choix que de se battre; Baco recevra une balle dans la cuisse, Canclaux aura très chaud.

L'erreur fondamentale a surtout été d'adresser un ultimatum avec 6 jours de réflexion au lieu de quelques heures, laissant à Baco, Beysser et  Canclaux, le temps de prendre des initiatives pour la défense de Nantes. Dommage que la brave femme de Nort sur Erdre n'ait pas révélé plus tôt le passage du gué... si...,si...,si...

Ce pélerinage a été réalisé en temps et en heure par le seul Souvenir Chouan de Bretagne.

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LES 20 ANS DU SOUVENIR CHOUAN de BRETAGNE

Publié le par culture

Samedi 6 juillet, le Souvenir Chouan de Bretagne fêtait ses 20 ans dans le cadre magnifique du château de Penhoët (XVIIIème), à Grand Champ (Morbihan), où l’association était très chaleureusement reçue par ses propriétaires. Le Cercle Chateaubriand ayant eu des soucis de transport la journée commença avec un peu de retard par la célébration d’une messe d’action de grâce célébrée par un jeune prêtre, ami du Souvenir Chouan de Bretagne, dans le parc du château, exactement à l’entrée de l’allée cavalière.

LES 20 ANS DU SOUVENIR CHOUAN de BRETAGNELES 20 ANS DU SOUVENIR CHOUAN de BRETAGNE

L’autel sur lequel l’officiant célébra était un garde-manger du 18 ème siècle. L’idée avait surpris ce prêtre lors de notre entretien téléphonique. Mais ce garde-manger n’est pas ordinaire. C’est la deuxième fois de son existence de meuble qu’il sortait de sa ferme familiale depuis 218 ans.

Par deux fois dans cette journée de samedi, il revit l’endroit, où il avait été déposé il y a 218 ans, endroit maintenant marqué par un monument qui s’appelle « La Croix des Emigrés ».

A proximité de la plage de Légénèse, où débarquèrent les Emigrés à Carnac en juin 1795, ce garde-manger fut utilisé par Monseigneur Urbain de Hercé pour célébrer la messe le dimanche 28 juin 1795 (un mois avant d’être fusillé à Vannes) devant une assemblée de 8 à 10 mille chouans et leurs familles.Dans le même temps, les nobles Emigrés assistaient à la messe célébrée dans l'église saint Cornély de Carnac.(Déjà une belle atmosphère d'unité comme elle s'annonce le 14 juillet à Saint-Florent-Le-Vieil !!!)

 

 

LES 20 ANS DU SOUVENIR CHOUAN de BRETAGNELES 20 ANS DU SOUVENIR CHOUAN de BRETAGNE

C’est ce même « autel » sur lequel le célébrant officia samedi : il est facile d’imaginer l’émotion, de tous, prêtre et fidèles. Une homélie de très haute qualité fut donnée à l’assistance qui en parlait encore au cours du repas. Ce repas, préparé par la maison « Le Sommer » fut servi, sur la proposition de Hélène, la propriétaire des lieux, sous les tilleuls dont les ombrages, la fraicheur et le parfum des fleurs valaient toutes les salles de restaurant. Après le mot d’accueil et les remerciements à nos hôtes, Nadine et Anne-Marie, fidèles secrétaire et trésorière du SCB qui avaient largement participé à la préparation de ces "20 ans", remirent le cadeau de notre association à Madame. Le repas, servi par un personnel aux petits soins, fit l’enchantement de tous par la finesse de ses mets, un framboisier d’anniversaire surmonté de ses bougies scintillantes et les vins des Chouans du midi, égayé par deux jeunes sonneurs (une cornemuse et une bombarde).

L’atmosphère chaleureuse, un cadre superbe, des hôtes rares, un temps splendide (merci sainte Claire et ses sœurs Clarisses) n’encourageaient guère à quitter ces lieux.

On le fit quand même, après la traditionnelle photo de groupe ; autocar et voitures prirent la direction du site du Pont du Loc’h ou fut évoquée la célèbre bataille du 25 janvier 1800 avec son monument érigé là par le Souvenir Chouan de Bretagne et inauguré le 2 juillet 2000.

Pour l’anniversaire de ses 20 ans le SCB avait émis et mis en vente un nouveau timbre qui eut un beau succès.

Enfin, en un autre lieu, les visiteurs du soir découvrirent un canon datant   de Quiberon qui est dans la même famille, descendante de Julien Guillemot, le fils de Pierre Guillemot, « Roué Begnen ». Ce canon en bronze, fabriqué en Angleterre est monté sur un  affût reconstitué. Il était caché, avec son jumeau, dans un talus jusqu’à il y a une cinquantaine d’année.

La journée s’acheva par le cidre de l’amitié au château de Penhoët où nos hôtes nous attendaient avec quelques amuses-bouche.

Merci à tous pour cette belle journée. Dommage pour ceux qui n’ont pas pu, ou voulu, se déplacer pour les 20 ans de leur Association. Dommage aussi pour la troupe des « Brigands du Bocage » qui devait assurer quelques « scénettes » et s’est désistée au dernier moment, nous privant de la musique du Vezou, prévu au programme.

Cette journée fera l'objet d'un article plus étoffé dans La Revue de décembre

 

LES 20 ANS DU SOUVENIR CHOUAN de BRETAGNELES 20 ANS DU SOUVENIR CHOUAN de BRETAGNE
LES 20 ANS DU SOUVENIR CHOUAN de BRETAGNE
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Gesté: la démolition de l'église est bien une profanation d'un lieu de culte

Publié le par culture

L'Association Mémoire Vivante du Patrimoine Gestois a mis sur son site des informations utiles concernant la manifestation de demain 6 juillet (pendant que le Souvenir Chouan de Bretagne fêtera ses 20 ans dans le Morbihan), manifestation annulée pour cette Association qui se bat depuis des années pour la défense de l'église néo-gothique de Gesté. Sa première victoire avait été, en février 2012, la condamnation de la mairie de Gesté comportant une lourde pénalité à l'égard de l'Association de défense du Patrimoine. La deuxième l'arrêt de la destruction-profanation.

Il aurait été logique que tous les mouvements, à juste titre protestataires, suivent la sage conduite de l'AMVPG qui est sur le terrain face à son maire Cordelier-Léger, et son adjoint destructeur Crouzat-Remeau, à la tête de la Colonne municipale, pour recommencer les affres de la horde révolutionnaire de février 1794.

Mais dans cette affaire il faut souligner la complicité en profanation des responsables de l'Eglise  catholique : l'évêque d'Angers Mgr Delmas et le prêtre local Pierre Pouplard. Pour ce dernier il faut souligner qu'il porte le prénom du saint protecteur de l'église profanée.

Pourquoi profanée ? Il existe selon le Canon romain un rite de désacralisation lors du changement de destination du bâtiment - quand il y a des travaux sans atteinte à l'intégralité de la construction, il n'y a qu'une simple bénédiction - ou lors de sa démolition.Or l'évêque a utilisé des arguties fantaisistes en déclarant que l'église serait reconstruite sur le même site.

En cas de démolition elle doit être désacralisée reconstruite ou pas sur le même lieu.

Lors d'une cérémonie solennelle (et non en catimini) l'évêque - ou son Vicaire générale - entouré du clergé local et d'un représentant de l'Etat, célèbre une messe avec les ornements violets (rituel du deuil). On parle de ce bâtiment, un peu comme d'une personne vivante ; à l'issue de la cérémonie on dépouille l'autel de ses nappes, les reliques en sont extraites. Eventuellement on burine les croix de consécration (5). On enlève le Saint-Sacrement. Toute la statuaire est évacuée et déposée dans un lieu respectable - le presbytère ou une autre église - et non dans un hangar municipal. Le mobilier marquant ce lieu de culte est extrait de l'église ou brûlé. On efface les signes religieux des murs (Croix de consécration - l'église de Gesté a été consacrée en 1865). Eventuellement, comme le lieu est devenu profane, il peut-être partagé un verre de l'amitié, le verre de l'adieu comme cela se fait, parfois, après un enterrement.

A Gesté, la présence du Christ en croix, dans l'église en cours de destruction, emmené par un engin de travaux, comme un vulgaire poteau indicateur, en l'absence de Pouplard (dans le rôle du curé "intrus") et déposé dans un hangar municipal à côté des objets hétéroclites que l'on rencontre dans ce genre d'endroit démontre qu'il n'y a pas eu de désacralisation ; l'évêque et le prêtre auront à rendre compte de complicité de profanation. Nous ne savons pas combien cela représente d'années de Purgatoire.

Si l'AMPVG ne gagne pas et que l'église est rasée, comme persistent à vouloir le faire Cordelier-Léger et Crouzat-Remeau, quand y aura-t-il une nouvelle église à Gesté ? La Colonne municipale a dépensé tout le budget qui y était destiné.

PROFANATEURS,  DESTRUCTEURS ET MENTEURS.

Enfin dernier point : la construction de cette église avait été financée en quasi totalité par les paroissiens de Gesté. Sur les 30 mille Francs que coûta cette édification, seuls 1500 Francs furent versées par l'Etat. Cette église fut volée par le même Etat en 1905-1906. Elle est détruite par un représentant de l'Etat avec la couverture de sa hiérarchie. Or cette loi spoliatrice interdit aux municipalités de financer un lieu de culte, enfin, pour ce qui est du culte catholique ! Alors, quadrature du cercle ?

 

Gesté: la démolition de l'église est bien une profanation d'un lieu de culte
Gesté: la démolition de l'église est bien une profanation d'un lieu de culte
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SAMEDI 6 JUILLET, LES 20 ANS DU SOUVENIR CHOUAN DE BRETAGNE

Publié le par culture

Dans le cadre prestigieux du château de Penhoët à Grand Champ, dans le Morbihan, témoin de la Contre-révolution et de la Chouannerie, ses propriétaires reçoivent le Souvenir Chouan de Bretagne qui y fêtera ses VINGT ans.

On n'a pas tous les jours vingt ans

ça nous arrive une fois seulement

Ce jour là passe, hélas ! trop vite,

C'est pourquoi faut qu'on en profite

Ainsi que le chantait Georgette Plana.

Programme:

-10 H 30 Rendez-vous à l'entrée du château.

-11 H      Messe en plein air selon la forme extraordinaire du Rit romain.

-12 H 30 Accueil par nos hôtes, historique de l'Association, promenade apéritive sous la conduite de nos hôtes avec accompagnement musical (bombarde, cornemuse, veuze)

-13 H 30 Déjeuner

-15 H  Promenade aux alentours, Monument du Pont du Loc'h, le calvaire de Kervodigan témoin des messes pendant la persécution, un canon de Quiberon chez un descendant de Pierre Guillemot "le Roi de Bignan", la tombe des Chouans au cimetière de Grand Champ.

17 H       Cidre de l'amitié et au revoir.

Une belle journée en perspective !

Inscriptions encore possibles par le mode contact, en haut à droite de cette page.

 

 

 

 

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