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PIERRE SERNA: à la souououpee !!!

Publié le par culture

Il serait vraiment injuste de garder pour soi cet article, un peu long, de Pierre Serna, historien du système, en dehors duquel n'existent que le mensonge, le négationnisme, et la faim ! 

Pierre Serna n'est pas suicidaire ; c'est pour cela qu'il a accompli un cursus sans faute, depuis le Tarn jusqu'à la Sorbonne, sur les traces de Jean-Clément Martin, à la direction de l'I.H.R.F. (Institut d'Histoire de la Révolution Française) à la suite de Jean-Clément Martin, et vu son look, il a même, par mimétisme, suivi Jean-Clément Martin chez son coiffeur et chez son visagiste !

L'article auquel vous accédez, en cliquant sur le lien, fait suite à la rediffusion de l'émission de Franck Ferrand: L'ombre d'un doute. Je pense que vous balancerez entre "franche rigolade" et vive irritation:

Car c’est là le second mensonge patenté soutenu par M. Sécher, l’idée du mémoricide qui repose sur le même principe : on veut oublier donc on veut cacher le génocide. La fable du mémoricide est donc construite. On aurait voulu occulter la Vendée. Mais combien de centaines et de centaines, voire de milliers d’ouvrages ont été écrits sur tous les épisodes sanglants de la Vendée depuis 1793 ? En affirmant cette contre vérité patente, l’auteur du pamphlet invente une fable avec tous les atours de la vérité pour instiller un autre mensonge, celui du génocide caché par la République et ses universitaires. Mais où est passée dans cette émission le travail de Jean-Clément Martin, certes interrogé mais point sur le fonds de son travail. Cet historien est le fondateur d’une autre vérité, sur l’absence d’un pouvoir au printemps 1793, capable de contrôler les troupes militaires, fin observateur de la manipulation à Paris, par les différentes factions de la violence désordonnée en Vendée pour s’imposer dans la capitale, en inventant "la Vendée" (4) ? Ce n’est pas là un oubli des contemporains ni des historiens mais au contraire une sur-présence de cette violence, de son récit, de son traumatisme et de ses séquelles dans la mémoire de l’Ouest de la France et de la république allant jusqu’à imaginer et nommer un espace qui n’existait même pas en tant que tel avant la Vendée !! de tout cela rien. Ou plutôt si avec l’aplomb des négationnistes connus dans d’autres champs : la fausseté affirmée avec une certitude sans faille. Ne tombons pas dans le piège de la surenchère. Ici, ce ne sont même pas des assassins de la mémoire, tout au plus des trafiqueurs de l’histoire. C’est leur droit, ils ne poursuivent qu’une longue généalogie de fossoyeurs des faits historiques, les fossoyeurs d’une histoire complexe, nuancée, douloureuse mais faisant sens, de la république. Les trafiquants du doute bricolent la montée de l’audimat… France 3 se prête à ce jeu, et nombre de leurs lecteurs n’ont jamais constitué une minorité brimée… Heureusement quelques historiens ont encore un peu de mémoire, la cultivent, non pour raconter la fable rose ou le livre d’horreurs du passé, mais pour comprendre et expliquer la violence outrancière des guerres civiles dans leur contexte.

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JEUDI 7 MARS 1793: Nouveau Président, nouvelle annexion, spoliations...la routine.

Publié le par culture

Gensonné ArmandNouveau Président à la tête de la Convention en ce jeudi 7 mars 1793:

Armand Gensonné. C'est son troisième passage de Président. D'abord de l'Assemblée Législative le 21 mars 1792, puis le 10 août en alternance avec Guadet et Vergniaud. Girondin, ce parti était classé à gauche sous la Législative. La droite royaliste - si on peut utiliser ce terme inapproprié - a été éliminée lors des élections de septembre 1792 ; le "glissement" fait que ce brave Gensonné se retrouve avec son parti classé "à droite". Ce qui ne veut strictement rien dire car il est révolutionnaire, essaie de freiner pour limiter les débordements des ultras gauche. Il peut se mordre les doigts de ses choix irraisonnés ; dans 7 mois et 24 jours il n'aura plus de tête pour le faire !

Au temps de la Législative, il a fait une tournée dans l'Ouest, en 1791 pour constater que la population et le clergé étaient hostiles à la Constitution civile. Sa déclaration devant l'Assemblée n'a rien changé, et ne l'a pas changé non plus.

Lors du "procès" de Louis XVI il est pour l'appel au peuple ; ce qui est refusé. Il vote la mort du Roi car celui-ci étant renversé il vote pour la mort d'un conspirateur. Quand on lit sa déclaration, que nous verrons dans La Revue de juin du SCB, nous restons pantois devant cet artiste du grand écart !

Décrets du jeudi 7 mars 1793:

-Décret relatif à la réunion de la ville et banlieue de Tournai (Belgique) à la France:

Art./1er: La Convention nationale, après avoir entendu le rapport de son Comité diplomatique, déclare au nom du peuple français qu'elle accepte le voeu librement émis par le peuple souverain des villes et banlieue de Tournai. La ville et banlieue de Tournai font partie intégrante de la République.

Art.2/: Les Commissaires de la République etc... etc... (comme à chaque annexion).

-Décret concernant les gagistes et pensionnés de la ci-devant liste civile:

Art.1er/: Tous les traitements, gages, appointements, pensions, gratifications et autres émoluments  de quelque nature qu'ils soient, attribués aux personnes attachées à la Maison du ci-devant Roi sont supprimés à compter du 10 août 1792.

Art.2/: Une indemnité leur sera versée ne pouvant excéder 1.200 livres par an.

-Décret qui déclare que la France est en guerre avec le roi d'Espagne.

(La boucle est blouclée ; du Nord-Ouest au Sud-Ouest, la France est en guerre avec tous ses voisins ; ce qui ne s'était jamais vu.On imagine les poissons de l'Atlantique et de la Mer du Nord qui se disent qu'ils vont souffler un peu !)

-(Surprenant !): Décret relatif aux mesures à prendre pour prévenir les suites de la corruption de l'air dans les départements de la Moselle, de la Meurthe, de la Meuse et de la Marne. (Réchauffement climatique ? Émissions de méthane des chevaux militaires et des boeufs tractant les impedimenta ?) Que font les écolos de l'époque ?

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5 MARS 1793: Egalité encore et toujours !

Publié le par culture

Saint-Gengoux.jpg-Décret de la Convention nationale: le nom de la ville de Saint Gengoux le Royal (en Bourgogne) est changé en celui de "Jouvence".

Pourquoi "Jouvence" ? Serait-ce que la Président de la Convention - Dubois Crancé - pensait à une cure de rajeunissement ?

Il est intéressant de noter qu'à proximité se situe le fief de Cormatin dont un futur adjoint de Puisaye dans la Chouannerie bretonne porte le nom. Son passé de révolutionnaire écartera de lui bien des Révoltés ; seul Amateur de Boishardy lui fera une certaine confiance, mais de brève durée.

-Décret qui réunit à la République française la ville de Florennes et les 36 villages formant son arrondissement.

Le même discours frelaté:

La Convention nationale, au nom du peuple français, déclare qu'elle accepte le voeu librement émis par le peuple souverain de Florennes (Belgique), et ses trente six villages qui forment son arrondissement, dans leur assemblée primaire pour se réunir à la France.

En conséquence, la Convention déclare:

Art. 1er/: La ville de Florennes et les trente six villages de son arrondissement font partie intégrante de la République.

Art. 2/: Les commissaires de la Convention à l'Armée de Belgique sont chargés de prendre toutes les mesures nécessaires pour l'exécution des Lois de la République dans la ville de Florennes et dans son arrondissement, ainsi que de faire parvenir à la Convention tous les renseignements nécessaires pour fixer, dans le plus bref délai possible, le mode de réunion.

Dans quelques mois les bienheureux annexés se mettront sous les ordres du fameux Charles de Loupoigne pour "réviser" le contrat d'association.

Egalité mais.....:

-La Convention décrète que les fonctionnaires publics qui marcheront à la défense de la patrie, en qualité de gardes nationales volontaires, jouiront, pendant toute la durée de leur service, du tiers de leur premier traitement et seront rétablis dans leurs fonctions à la fin de la campagne. (Ce tiers de leur traitement correspond quand même à deux fois celui du sodat des gardes nationales volontaire ! De plus, le volontaire des gardes nationales devra, lui, à la fin de la campagne, se débrouiller pour vivre. Egalité, Egalité quand tu nous tiens !!!)


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LIBERTE ET ANNEXIONS OU ANNEXIONS LIBRES 2 MARS 1793

Publié le par culture

 

Décret qui annule tout traité d'alliance et de commerce passé entre la France et les puissances avec lesquelles elle est en guerre et qui défend l'introduction en France de diverses marchandises étrangères :

La Convention nationale après avoir entendu ses commissions de commerce,, de défense générale de la guerre considérant que la conduite hostile des pays coalisés contre la république, est une infraction aux décrets antérieurs décrète ce qui suit :

Art. 1er/ :  tout traité d'alliance du commerce existant entre l'ancien gouvernement français et les puissances avec lesquels la république française en guerre sont annulés.

Art. 2/ : huit jours après la publication du présent décret il ne pourra être introduit sur l’ étendue de territoire de la république, tant par terre que par mère, des velours et étoiles de coton, des étoffes de laine connue sous le nom de Casimir, des bonneteries d'aucune espèce, des ouvrages d'acier poli, des boutons de métal, et défaillances (faïences) de terre, de pipe ou de grès d'Angleterre venant de l'étranger, sous peine de confiscation.

Article 5/ : les objets trouvés en contravention avec le présent décret, seront vendus trois jours après leur confiscation définitivement prononcée. La moitié du produit net des objets vendus appartiendra et sera remise aussitôt après la vente à tout particulier qui aurait dénoncé les dits objets ou concourut à leur arrestation.

Décret qui défend l'exportation à l'étranger des bestiaux, chevaux, mulet etc.

Art. 1er/ : La Convention nationale étend à tous les départements de la république la prohibition provisoire d'exporter à l'étranger tant par mer que par terre tous bestiaux chevaux, mulet grains et fourrage.

Art. 2/ : La Convention nationale défend provisoirement l'exportation à l'étranger du beurre frais ou salé, celle des cuirs de toutes espèces, des patates, des marrons, des châtaignes, et autres légumes ou fruits farineux, qu'elle déclare sous le nom générique de comestible.

Art. 3/ : Tous les objets trouvés en contravention au présent décret seront saisis et confisqués. La moitié du produit net appartiendra au dénonciateur et à ceux qui auront concouru à leur arrestation.

Décret portant réunion à la France des villes faubourgs et banlieues de Bruxelles.

La Convention nationale après avoir entendu le rapport de son comité diplomatique, sur le voeu librement exprimé par le peuple souverain des villes faubourgs et banlieues de Bruxelles déclare au nom du peuple français qu'elle accepte leur voeu et qu'en conséquence :

Art. 1er/: Les villes faubourgs et banlieues de Bruxelles font partie intégrante de la république française.

Art. 2/: Les commissaires de la Convention nationale sont chargés de prendre  provisoirement toutes les mesures nécessaires pour l'exécution des lois de la république.

Décret portant réunion du pays de Hainaut à la France sous le nom de département de Jemmappes :

La Convention nationale après avoir entendu le rapport de son comité diplomatique sur le voeu librement émis par le peuple souverain du pays de Hainaut pour sa réunion à la république française déclare, au nom du peuple français, qu'elle accepte ce voeu et en conséquence décrète ce qui suit :

Art. 1er/: le pays de Hainaut  fait partie intégrante de la république et formera un 86e département sous le nom de département de Jemmappes.

Art. 2/ : les bureaux de douane établie sur les confins de la France et du ci-devant Hainaut sont supprimés, et seront transférés, dans les plus brefs délais aux limites extérieures du nouveau département.

Décret portant réunion à la France des communes de Franchimont , Stavelot et Lognes.

La Convention nationale, après avoir entendu le rapport de son comité diplomatique sur le voeu librement émis par le peuple souverain composant les communes de Franchimont, Stavelot, Logne, pour leur réunion à la république française, déclare au nom du peuple français qu'elle accepte ce voeu et en conséquence décrète ce qui suit :

Art. 1er/: Les communes composant le pays de Franchimont, Stavelot et Logne font partie intégrante de la république.

Art. 2/: Les commissaires de la Convention nationale sont chargés de prendre  provisoirement toutes les mesures pour l'exécution des lois de la république.

Décret portant réunion de la principauté de Salm au département des Vosges.

La Convention nationale, après avoir entendu le rapport de son comité diplomatique sur le voeu librement émis par le peuple souverain composant les communes de la ci-devant principauté de Salm, déclare au nom du peuple français qu'elle accepte ce voeu et en conséquence décrète ce qui suit :

Art. 1er/ : La ci-devant principauté de Salm est réunie au territoire de la république et fait provisoirement partie du département des Vosges.

Art. 2/: Les tribunaux, juges de paix, municipalités et autres autorités constituées, actuellement existants dans la ci-devant principauté de Salm, continueront provisoirement leurs fonctions, jusqu'à ce qu'ils soient remplacés par d'autres autorités organisées conformément aux lois générales de la république.

Décret portant réunion de la ville de Gand à la république.

La Convention de nationale décrète à l'unanimité la réunion de la ville de Gand au territoire de la république française et charge son président de donner aux députés, au nom du peuple français, le baiser d'union et de fraternité.

Principaute_de_Salm_1.jpgSalm était une petite principauté d'une supercie de 200 Km², proche de Saint Dié dont la capitale était Senones. Les échanges avec la Fran,ce étaient normaux jusqu'à ce qu'arrive la révolution. Son prince régnant, pressentant les évènements, était parti en Westphalie le 15 août 1791.

Les décrets interdisant les échanges avec les pays étrangers entraînent l'asphyxie alimentaire de ce petit pays qui échangeait avec le produit de ses fonderies. Le Prince, depuis son exil essaiera de parlementer avec la Convention ; sans aucun résultat. Le Conseil municipal de Senones n'eut pas d'autre choix que de voter, le 21 février 1793, le rattachement à la république française.

C'est ainsi qu'avec un profond cynisme: La Convention nationale après avoir entendu le rapport de son Comité diplomatique sur le voeu librement émis par le peuple souverain...

Le représentant en mission est Couthon ; c'est lui préside à l'annexion de ce territoire, incorporé dans le département des Vosges.

Bien évidemment la tactique fut la même pour les autres territoires annexés, en dehors de ceux qui le furent, pour leur liberté, militairement.

Ah ! Liberté quand tu nous tiens !

 

 

 

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HALTE Là, HALTE Là, HALTE Là.....LE MONTAGNARD EST Là

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Maire-de-Rouen.jpgYvon Robert est le maire de Rouen. Il est agrégé de Lettres. Il a appris et retenu l'Histoire de Mallet et Isaac. Féru de Jules (au pluriel), il suit son reître à penser et pense que Ferry et Michelet sont les seules historiens crédibles ; il ignore que Combes est décédé depuis un certain temps. Il ne faut pas penser qu'il va "bouffer du curé" à chacun de ses repas, mais les mauvaises habitudes se prennent vite. La Révolution lui devient obsessionnelle. Il en rêve la nuit et il coupe des têtes, à n'en plus finir. Il ne faut pas se fier à sa bonne bouille de jacobin Montagnard. Marat aussi souriait et Fouquier-Tinville avait un certain humour...tranchant, certes.

Bref ce Conventionnel sorti du placard de 1793, agrégé de lettres plutôt postales, n'a pas eu connaissance des ouvrages écrits sur Louis XVI, en particulier celui du Professeur Jean de Viguerie sur "Le Roi bienfaisant". C'est dommage pour lui ; il aurait pu éviter une imbécillité saugrenue, de ces petites mesquineries qui font tache, qui révèlent le "Minus habens", à court d'idées pour détourner l'attention de sa ville en faillite.

Monsieur le maire de Rouen, avec un violent coup de menton, a débaptisé un salon de l'Hôtel de Ville, nommé Louis XVI. Et avec un autre violent coup de menton, il l'a rebaptisé "République" ; ça, c'est viril, en voilà un homme politique !

P1290062P1290062P1290062.jpgPendant ce temps, à Nantes, les travaux de nettoyage de la Colonne Louis XVI, place Louis XVI dite Foch, se terminent et l'ancien souverain, souriant, s'est extrait des échafaudages le 21 janvier.

Louis XVI ne nous en voudra pas de dire que c'est un beau pied de nez au sot qui, 10 jours plus tard à Rouen, débaptisait un salon.

Jean-Marc Ayrault à Nantes, Robert à Rouen, un Girondin, un Montagnard, représentent 220 ans après les manières de penser de la société dirigeante ; toujours entre les deux, les dirigés , le dail à portée de main.

Pour en revenir à la statue de Louis XVI, nul ne sait pourquoi a été décidée la restauration de ce monument et pile pour les 220 ans de l'exécution du souverain ; même si on constatait que cette colonne avait bien besoin de nettoyage.

Serait-ce de vieux souvenirs d'Histoire ayant refait surface dans la tête du natif de Maulévrier ? Ou une sorte de "Flash back" d'un élu agissant à contrario de ses prédécesseurs de 1792, se retournant contre Louis XVI alors qu'ils avaient voté la construction d'un monument à la gloire du Roi bienfaisant (comme ce terme figure sur le théâtre Graslin) en 1790 ???

Merci à M.FD.E - "fleurisseur" du 21 janvier à Paris pour le renseignement.

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Franz-Olivier GIESBERT: je ne sais rien mais je dirai tout !

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le-chien-RantanplanLe Saint Père a décidé de se libérer de sa charge, ce qui n'est pas une démission ; il reste Pape puisque cela est la particularité de sa fonction: élu à vie.

Benoît XVI craignait de se sentir dans l'incapacité de remplir sa tâche en raison de son âge, redoutant de ne pas avoir la résistance physique et intellectuelle, présageant, peut-être, une période difficile pour les catholiques ? Il est dommage que son exemple n'inspire pas certains de nos hommes politiques, bien plus jeunes, mais qui n'ont plus les capacités intellectuelles pour occuper leur poste à irresponsabilité.

A l'occasion de cette décision rarissime, tous les batteurs d'estrades journaleuses y sont allés de leurs commentaires autorisés et savants.

Mais celui auquel nous décernons notre Prix Rantanplan se distingue par sa bêtise. Il y a eu de l'insulte comme se permet de le faire Libération, sans danger d'explosion dans ses locaux, et puis il y a la supériorité "supérieure" (pataquès voulu) de celui qui sait, tantinet vaniteux méprisant vis à vis de ceux qui ont, de façon récurrente, mal analysé un évènement que lui seul a intelligemment scruté. C'est pour cela que le Prix Rantanplan est bien mérité par Franz-Olivier Giesbert pour son éditorial du Point du 17 février dernier.

Mais le scrupuleux journaliste se prend les pieds dans le tapis. Ne nous inquiétons pas pour lui, il n'ira pas se suicider ; demain tout le monde aura oublié les sottises de "Sa Suffisance".

A l'occasion, je vous livre celui-ci, découvert par hasard. En cliquant sur le lien précédent vous avez fait la lecture du texte d'un petit vaniteux ; en cliquant sur celui-ci vous aller découvrir un article, un peu long mais très explicite de la haine contre l'Eglise, à travers tous les mensonges colportés. Cet individu partagera son Prix Rantanplan avec F.-O. Giesbert.

Articles incongrus sur le Blog  du Souvenir Chouan de Bretagne ? Non, c'est l'exemple type de la presse d'il y a 210-220 ans telle qu'elle luttait contre les adversaires de la révolution.

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