Un Blog servilement correct...
Sincèrement, il n'est pas possible de vous priver de la lecture du Blog qui consulte le Blog du Souvenir Chouan de Bretagne lequel vous laisse à votre réflexion et à votre discernement.
Bonne lecture
Histoire des Révoltés contre l'arbitraire jacobin parisien, plus connus sous le nom de Chouans.
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En 1790, date de cette caricature, le "Père Duchesne" s'en prenait au Clergé évacué par l'anus de diables.
Ancêtre de "Charlie Hebdo" le "Père Duchesne" torchon de Jacques-René Hébert (qui décédera d'une coupure de rasoir en mars 1794) s'en prenait aux serviteurs de Dieu.
C'était le vent de l'époque, au sens anal du terme, ce que l'on appelle maintenant la coprophilie (maladie psychiatrique répertoriée de malades mentaux qui aiment les excréments) et par dérivation maintenant ceux qui se délectent dans ce milieu nauséabond. Il n'est pas question de faire ici la liste de noms malodorants.
Depuis quelques années, le fils mental du "Père Duchesne", "Charlie Hebdo", s'est fait une spécialité dans les attaques contre l'Eglise et ses représentants. En 1996, lors de la venue de Jean-Paul II en France il s'était permis des dessins dont l'abjection l'aurait amené devant les tribunaux s'il s'était agi de caricatures contre des hommes politiques.
Quelques années auparavant, un journal d'extrême-doite avait été lourdement condamné pour avoir dévoilé la poitrine de la femme du "jeune Premier ministre" de l'époque, cliché pris dans une piscine parisienne, au milieu du public (pour faire peuple).
Dans sa dernière livraison, ce torchon de "Charlie Hebdo" s'en prend carrément à Dieu. Sans aucun risque car si courageux, enfin son courage de caniveau, il s'en était pris il y a quelques mois à Mahomet, il ne s'en était pas pris à Allah. Cela aurait, sans aucun doute, transformé l'immeuble rédactionnel en un nouveau World Trade Center, personnel inclus et mis sur orbite.
Pas de réactions du monde politique, nous y sommes habitués, et peu du monde religieux. C'est un grand silence de désapprobation.
Quel rapport avec la chouannerie diront certains ?
Les Chouans se sont soulevés il y a 220 ans à cause des attaques contre l'Eglise, leurs prêtres et leurs libertés, y compris la Liberté Religieuse.
Nous sommes dans le même cadre de défense de nos libertés et c'est pour cela que le Souvenir Chouan de Bretagne, par respect du devoir de Mémoire à l'encontre de ceux qui se sont levés il y a 220 ans, sera présent sur les lieux de manifestations diverses et variées, qu'elles concernent la vie civile, la vie familiale ou la vie religieuse !!!
Il y a un moment où il faut dire: " Cela suffit !!!" Sufficit comme aurait dit César !
Charles François Morisson, député de la Vendée pour le canton de Palluau, prend la parole en ce mardi 13 novembre 1792. Plutôt conservateur, royaliste de coeur, craintif face à la pression révolutionnaire en cette Convention dont il est l'élu depuis septembre, il commence par accabler le Roi de France. Si le 10 août il avait été aux Tuileries il l'aurait étranglé de ses mains.
Mais il n'était pas aux Tuileries !!!
"Maintenant que ce roi est tombé, les patriotes généreux n'ont à juger qu'un homme à terre et qu'au temps de ses crimes la Constitution, à laquelle il avait adhéré, avait prévu son inviolabilité et que la seule peine qu'il encourait était la déchéance, laquelle avait été prononcée. Qu'on lui donne une pension et qu'on n'en parle plus !"
Après un exposé aussi tiède, monte à la tribune un individu dont nous avons parlé il y a quelque jours. Louis Antoine de Saint Just dont l'Histoire parlera en faisant abstraction de sa particule.
Du haut de ses 25 ans, il va enflammer son auditoire au delà de toute capacité de réflexion. Après les propos assez niais de Morisson, il va prononcer un discours violent, hélas brillant, contre celui dont il était, quelques mois auparavant, un adulateur. Deux siècles après on peut dire de cet orateur qu'il est totalement psychopathe ; mais il va entraîner la masse inerte des éléments mous de cette Convention vers la mise en accusation du Roi de France proposant qu'il soit jugé en ennemi de la France, sa culpabilité résidant dans le fait du pouvoir royal qu'il a exercé. Il doit régner ou mourir car c'est sa destinée. Relevé de son pouvoir, il n'a pas à être jugé, il doit être simplement exécuté. Ennemi du genre humain, de par sa position de despote, Louis est moins qu'un citoyen, il est moins qu'un homme, car tout homme au nom de la vertu chère à Jean-Jacques Rousseau fait partie du contrat social et Louis ne fait pas partie du contrat social de par sa position de tyran et de despote. Ainsi, il n'a aucun droit. Il est par sa naissance un criminel né, donc un barbare qui ne bénéficie en aucun cas de la présomption d'innocence: "On ne peut règner innocemment, la folie en est trop évidente, tout roi est un rebelle et un usurpateur".
Il faut donc éliminer le "tyran" du peuple.
Ce terme de tyran prête hélas à sourir (tristement) quand on va suivre le calvaire de ce "tyran" qui n'a jamais voulu verser le sang de ses peuples et le martyr de ses peuples dont le sang va être largement répandu par une bande de malades psychopathes.
Aujoud'hui, mardi 13 novembre 2012, nous constatons qu'il y a 220 ans le sort de la France bascule définitivement. Ce n'est pas de la politique, ce sont des Faits !!!
En ce samedi 10 novembre 1792, il y a 220 ans, Louis Antoine de Saint -Just n'est pas encore connu. Né à Décize dans la Nièvre le 25 août 1767, nul ne peut penser qu'à 25 ans et deux mois, il va entraîner la chute inéluctable d'un système politique et la justification de la suppression physique de son représentant.
Nous le verrons dans les jours à venir, sa venue sur la scène de la révolution va enclencher un processus violent de "mise à bas" dans le sang du système politique qui a géré la France durant des siècles.
Ce jeune psychopathe en puissance va générer des centaines de milliers de victimes, majoritairement innocentes, au nom d'une idéologie mortifère. Encensé encore par certains, cet individu qui n'a pas encore révélé ses talents de tribun utilisera son verbe et sa verve pour stipendier les faibles, les peureux et les sans idéaux de la Convention.
Il fait partie de ceux qui ont trouvé, dans la révolution, le moyen d'épanouir leur médiocrité par le crime, la délation, des psychopathes qui, à notre époque, seraient enfermés sous haute surveillance dans un asile psychiatrique.
Inspiré par le discours de Rousseau sur 'la vertu", il prônera, au nom de celle-ci les pires théories dont celle-ci qui a disparu des références: " Nous ferons le bonheur du peuple même contre sa volonté " ou " Le bonheur est une idée neuve en Europe".
Mercredi 7 novembre 1792. Jean-Baptiste Mailhe, avocat et député de Haute-Garonne élu le 4 septembre, membre de la Société des Amis de la Constitution de Toulouse, a été nommé par ses collègues commissaire aux Archives et au Comité de législation. Ce dernier l'a désigné comme rapporteur du projet de mise en accusation de Louis XVI.
En ce jour il présente son rapport à la Convention : "Louis XVI ne peut pas invoquer l'inviolabilité de sa personne , telle qu'elle est inscrite dans la Constitution qu'il a acceptée et qu'il a ensuite violée. Il pouvait être jugé, il devait l'être par la Convention elle-même et que cette dernière porterait son jugement par appel nominal ; une ratification par le peuple n'est pas souhaitable".
Sur proposition de Billaud-Varenne et de Jeanbon-Saint-André, la Convention décrète que le rapport de Mailhe sera traduit dans toutes les langues d'Europe puis envoyé aux Armées, aux départements et aux municipalités.
Mais ce n'est pas un enthousiasme fou auprès du plus grand nombre. Il manque un élément dans leurs péroraisons.
Sur l'échiquier politique, Mailhe se situe dans le Marais mais penchant du côté des Girondins. Il faut se souvenir que lors des élections de septembre tous les candidats royalistes ou modérés ont été éliminés. C'est ainsi que les Girondins qui étaient à gauche, se retrouvent maintenant à droite de l'Assemblée. Ils n'ont pas encore mesuré les conséquences de leurs actes irréfléchis, pour la France, pour ses habitants mais aussi pour eux-mêmes. La surenchère est ouverte avec les Montagnards.
Ils ne présagent pas que dans moins de onze mois ils paieront leurs inepties, de leur vie.
La Commission des Vingt Quatre a été créée le 1 octobre par la Convention pour examiner les documents trouvés au château des Tuileries le 10 août 1792.
Ces députés, au nombre desquels: Philippeaux (avocat et député de la Sarthe, enlevé précocément à l'affection des siens), Drouet (député Montagnard de la Marne, arrêta Louis XVI à Varennes et en fut récompensé par trente mille Livres), Berlier (député de la Côte d'Or), Birotteau (député des Pyrénées Orientales, enlevé prématurément à l'affection des siens), Cavaignac (avocat, député Montagnard du Lot), Poullain de Grandprey (avocat, député des Vosges), Froger-Plisson (avoué, député de la Sarthe) ont désigné leur porte-parole pour présenter les résultats de leurs travaux.
Celui-ci est Charles Dufriche des Genettes, natif d'Essay dans l'Orne dans le village de Valazé dont il prendra le nom. Il a été élu député de l'Orne sous l'étiquette des Girondins.
LE 6 NOVEMBRE 1792, Dufriche-Valazé (car c'est ainsi qu'il se fait appeler maintenant pour faire plus démocratique) dépose le rapport de la Commission sur le bureau de la Convention: "sur les crimes du ci-devant roi dont les preuves ont été trouvées dans les papîers recueillis par le Comité de Surveillance de la Commune aux Tuileries le 10 août".
D'après les Archives de l'Assemblée Nationale il mit en exergue la conspiration de Louis XVI contre son propre pays.
Nous insisterons souvent sur le fait que le 10 août, Louis XVI, Roi des français selon la Constitution de 1791 qu'il a reconnue, est venu se mettre sous la protection de l'Assemblée Législative. Le coup de force de la Commune Insurrectionnelle de Paris en fera un prisonnier le 13 août. Le problème insoluble: qu'en faire maintenant ?
En effet, prêtant serment à la Constitution le 3 septembre 1791, Louis XVI reconnaît l'Assemblée Constituante comme dépositaire du pouvoir qui lui est donné par la Nation. Le Roi n'en est plus qu'un exécutant et tout ce qui a été pris comme décision ne l'a été que du fait de la Constituante. La Constituante ayant avalisé l'Ancien Régime, dit improprement absolu, afin de mieux le rejeter, Louis XVI ne peut être reconnu coupable de ce qui, au terme de la Loi n'a pas existé ! Surtout que la même Constitution reconnaît la personne du roi comme inviolable et sacrée.
La Convention dont près des deux tiers des députés sont des avocats ou des juristes, experts en figures de rhétorique va rapidement trouver la solution avec le petit Saint-Just.
Et puis, en ce jour, Dumouriez a battu les autrichiens à Jemmappes. L'Euphorie est au rendez-vous. Mais Valazé ne présage pas que dans 11 mois il se suicidera pour échapper à la guillotine suivant d'une longue liste sanglante !!!
La messe de Requiem a été célébrée en la chapelle du Champ des Martyrs de Brec'h par l'abbé Amaury Brillet, vicaire de la paroisse Saint Patern de Vannes, utilisant un calice et une patène de 1792. La cinquantaine de fidèles se retrouva ensuite au Mausolée de La Chartreuse pour l'Absoute. La beauté et la prière, la ferveur qui se dégage de la forme extraordinaire du Rit romain, n'ont, assurément, aucun équivalent pour honorer Dieu.
Ces cérémonies du Souvenir priant ont été rétablies il y a douze ans ; crées vers 1829 en hommage aux victimes du débarquement de Quiberon, elles avaient cessé en 1950. 3 participants en 2000, une bonne cinquantaine cette année, la progression est très satisfaisante.
Sous un beau soleil totalement inattendu (merci à sainte Claire et aux soeurs Clarisses de Nantes) la journée avait commencé par la réunion du Conseil d'Administration pour le compte-rendu semestriel de l'activité du Souvenir Chouan de Bretagne. S'y est ajouté le programme des manifestations en 2013 pour les 20 ans de l'Association et les 220 ans du Soulèvement de 1793.
Compte rendu circonstancié dans La Revue de décembre.
Samedi 3 novembre, à 15 H 30, en la chapelle du Champ des Martyrs, à Auray, la messe, selon la forme extraordinaire du Rit romain, sera célébrée par l'abbé Amaury Brillet, vicaire de la paroisse Saint Patern de Vannes à la mémoire des victimes de la Révolution ainsi qu'à l'intention des Membres vivants et décédés du Souvenir Chouan de Bretagne.
En 1829 un service religieux avait été instauré lors de l'inauguration de la chapelle construite sur les lieux mêmes des exécutions de 1795, après le débarquement de Carnac et la défaite du 21 juillet lors de la bataille de Quiberon. Ce service disparut vers 1950. Restauré en l'an 2003, à la demande d'un Membre du Souvenir Chouan de Bretagne, de plus en plus de monde vient assister à cette messe chantée de Requiem.
A 17 H, au mausolée de La Chartreuse, nous chanterons l'Absoute suivie de la bénédiction des ossements de ceux qui furent fusillés au Champ des Martyrs mais aussi à Saint Pierre Quiberon et en d'autres lieux de la presqu’île de Quiberon.
Un déjeuner réunira, à 12 H 30, les participants voulant se joindre aux Membres du Conseil d'Administration qui se seront réunis le matin.
Restaurant "La Boule d'Or" à Sainte Anne d'Auray (à côté de la Basilique). Prévoir 24 €. Contact: 06 08 42 16 58.
1-Le duc de Brunswick évacue la Champagne. Décret de la Convention créant le Comité des Vingt Quatre, présidée par Barbaroux, chargée de collationner et examiner les papiers trouvés aux Tuileries et dans les divers organes ministériels.
2-Création du Comité de Sûreté Générale chargé de la surveillance policière des divers suspects et étrangers résidant sur le territoire de la République.
3-Les troupes de la Convention occupent Worms.
4-Dufriche-Valazé présente un premier rapport sur l'investigation des documents (représentant des milliers de feuillets) saisis par le Comité des Vingt Quatre.
5-Bourbon l'Archambault est rebaptisée Burges les Bains. La Convention autorise le Ministère de la Guerre à acheter des boeufs et du porc salé à l'Irlande et à la Hollande.
6-A la demande de Danton, décret de la Convention autorisant la destruction des Sceaux royaux, de la couronne et du sceptre envoyés à la Monnaie nationale pour être fondus. Les boutons d'uniforme des soldats de la Révolution doivent être changés (!!!).
7-Les Autrichiens se retirent de Belgique. Un décret autorise l'avance du tiers de leurs factures aux artistes en charge de "Travaux d'encouragement" (propagande).
8-Décret chargeant le Ministère de la Guerre d'envoyer aux généraux le texte de loi concernant les Emigrés pris les armes à la main.
9-Décret concernant l'application de la Loi sur les Emigrés pris les armes à la main "ils seront livrés dans les 24 heures à l'exécuteur et mis à mort après qu'il aura été déclaré par une commission militaire de cinq membres qu'ils sont émigrés et qu'ils ont été pris les armes à la main ou qu'ils ont servi contre la France". Décret nommant le sieur Dominique Joseph Garat (avocat, journaliste et franc-maçon) ministre de la "Justice". (Nous le retrouverons le 20 janvier 1793) sur proposition, après vote, du Président de la Convention, Jean-François de La Croix appelé Delacroix, prévaricateur et trafiquant qui finira égalisé.
Bar le Duc est rebaptisée en Bar sur Ornain.
10-Décret de la Convention mettant sursis à la vente des bibliothèques et objets scientifiques des Emigrés. Elle charge son Comité d'Instruction Publique de lui présenter un texte de loi pour la préservation de ces objets. (En bon français on va légaliser le vol de ces biens appartenant à des particuliers).
13-Décret qui renvoie au Comité diplomatique et de la Guerre l'étude d'un projet de loi concernant les biens des princes, nobles ou Emigrés, lorsque les généraux entreront dans les pays ennemis où ils sont réfugiés. (!!!)
14-Les Prussiens évacuent Verdun.
15-Décret qui supprime la Croix de Saint Louis comme décoration militaire." Question de savoir s'il convient, dans une République, de conserver quelque marque distinctive".
16-Décret qui ordonne de faire connaître aux généraux et aux commandants le décret relatif aux Emigrés pris les armes à la main.
Pour la première fois depuis le 10 août est évoqué un jugement du Roi (qui n'est toujours que "suspendu") ; Bourbotte - qui dans quelques mois viendra sévir dans l'Ouest - député montagnard à la Convention, demande que Louis XVI soit condamné à mort (sans jugement). Le Prieur, de la section de Grenelle poussera l'outrance jusqu'à s'écrier que le 10 août" c'est le château qui a assiégé la Nation et non la Nation qui a assiégé le château ! "
19- La Convention décrète que les vins et alcools ne sont pas compris dans la liste des produits prohibés (bétails, fourrages, grains, légumes) - par la loi du 12 septembre - à destination des Pays-Bas autrichiens. Suppression de la mention "La Loi et le Roi".
20-Décret ordonnant la vente du mobilier des demeures royales.
21- Les troupes de la Convention investissent Mayence.
22- Décret qui change le nom du bourg de Long le Roi en Gué de Voise. Les Prussiens évacuent Longwy ; cette ville s'était rendue sans combattre en septembre. Un cinglé va proposer de la détruire pour reconstruire les maisons qui, à Lille, ont été détruites par les bombardements prussiens.
23- Les troupes de la Convention investissent Francfort. La Convention décrète que tous les Emigrés sont à jamais bannis du territoire de la République, leurs biens confisqués et vendus, sans déroger aux décrets précédents concernant ceux qui seraient pris les armes à la main.
24-Les troupes de la Convention envahissent la Belgique. En conséquence les Emigrés et prêtres qui s'y étaient réfugiés sont considérés comme Emigrés rentrés ! La Convention, par décret, autorise le Ministre de l'Intérieur à mettre en vente le mobilier des Tuileries, des châteaux royaux, des maisons religieuses et des maisons des Emigrés. Ces biens autorisent la Convention a créer un nouveau tirage de 400 Millions de Livres en assignats (qui s'ajoutent aux 2milliards 450 millions de Livres, en plus d'un récent tirage de 700 millions basés sur la vente des biens d'Eglise!).
Port-Louis (Morbihan) devient Port-de-La -Liberté.
25-Vic le Comte s'appellera désormais Vic sur Allier.
26-La Reine et ses enfants, madame Elisabeth, emménagent, dans la Grande Tour du Temple, au troisième étage, juste au dessus de l'étage qu'occupe le Roi. Le logement est plus grand que celui de la Peite Tour et à peine plus confortable. Chez ces nobles prisonniers un vrai fatalisme s'est installé renforçant leurs convictions religieuses.
27- Dumouriez, à la tête des troupes de la Convention marche sur Jemmapes.
30-Décret de la Convention suspendant l'exécution du décret ordonnant la démolition des maisons de Longwy.
Le 17 octobre à Paris, lors de la remise du Prix des Droits de l'Homme à Reynald Secher, il a été surprenant d'entendre, dans la bouche de Pierre Bercis - Président de la Société des Droits de l'Homme et homme instruit - ce propos "historiquement correct" mais totalement mensonger: "...mobilisation générale contre les monarques ligués et agressifs contre la révolution française..." C'est l'Assemblée Législative qui déclare la guerre dès avril à l'Autriche et les alliances font le reste. C'est ensuite la Convention qui envahit ses voisins. Ce n'est quand même pas la même chose !!!