Persécution religieuse dans le Morbihan
En lisant l'ouvrage"mille prêtres du Morbihan face à la révolution" d'André Moisan prêtre et archiviste diocésain du Morbihan on découvre que le nom donné à ce chêne est celui de l'abbé Pierre-Paul Guillotin qui avait prêté un serment restrictif à la Constitution Civile du Clergé ; il s'en estima libéré après la mise à mort du Roi Louis XVI.Recherché, comme tous les prêtres réfractaires, ce chêne lui servit de refuge.Lorsque la persécution religieuse se fut atténuée, il rédigea un ouvrage appelé Le Registre, de 288 feuilles, dans lequel il a noté toute la chronique locale de 1791 à 1800, Histoire ecclésiastique, des lieux-dits et des habitants.Il y raconte comment, poursuivi par une horde de Bleus, il se réfugia dans le tronc de cet arbre et invoqua la protection de la Mère de Dieu. Une araignée tissa sa toile devant l'ouverture.Les Bleus fouillant partout virent la toile d'araignée et en déduisirent que personne n'était entré dans le tronc de l'arbre. Alors que l'abbé y était réfugié.Ce n'est pas une légende, c'est un fait merveilleux mais les miracles ne le sont-ils pas ?
On connaît par lui l'existence d'un autre abbé Guillotin, Vincent, né en 1736 ordonné à Saint Malo en 1761, recteur de Saint Maden dans les Côtes du Nord, réfugié à Concoret en 1797 pour s'y cacher. Peut-être est-il venu lui aussi dans ce chêne? Mais aussi l'abbé Julien-Malo Jouan prêtre de Saint Léry près Mauron prisonnier à Ploermel déporté à Saint Martin de Ré rentré le 14 février 1800, l'abbé Yves Lemoine recteur de Mauron et l'abbé Alexis Roblaire recteur de Néant rentrés des pontons de Rochefort à la même date, l'abbé Philippe Barbier chapelain de Gaillarde en Paimpont rentré en 1802 de Jersey où il s'était exilé pour être nommé recteur de Néant, l'abbé Joseph-Hyacinthe Houssu vicaire à Néant et chapelain au Rox en Concoret "fanatique dangereux" qui s'exile à Jersey d'où il revient pour être nommé recteur de Concoret en 1802, l'abbé Joseph Pontgérard d'Augan mendiant à Concoret fait prisonnier après le naufrage de son bateau l'emmenant en exil à Jersey et guillotiné à Rennes le 11 mars 1794 âgé de 47 ans, et près de là l'abbé Charles Monnerais que l'on fit courir pour le"tirer comme un lapin" et l'achever à la baïonnette obligeant ensuite ses paroissiens à marcher sur son corps qu'ils furent obligés de laisser nus sur la place de Guer jusqu'à la nuit.
Mais quelle Histoire apprise à partir de l'existence d'un chêne !
Une infâmie
Le 21 mars 1804, Louis- Antoine- Henri de Bourbon - Condé, Duc d'Enghien, tombe sous les balles d'un peloton d'exécution
dans les fossés de Vincennes. Il est trois heures du matin, le prince a trente et un ans et demi.
Suites de la Bataille du Pont du Loc'h.
Il y a un peu plus d’un mois, le 14 février, Georges Cadoudal et ses officiers ont été reçus au château de Beauregard à Saint Avé dans le Morbihan. Cette rencontre avec le général Brune, supérieur du général Harty, est voulue par Buonaparté Premier Consul.
Le 25 janvier 1800 a eu lieu la Bataille du Pont du Loc’h, près de Grand Champ, sur la route de Vannes à Locminé. Les historiens de mauvaise foi parlent de défaite, d’autres de victoire mitigée mais à l’avantage des armées de la République.
Pour se faire une idée, observons les faits.
La Bataille a lieu car Georges secondé de ses officiers, veut récupérer les charrettes de grains et autres denrées alimentaires que les Bleus sont venus piller dans la région de Grand Champ. L’accrochage est féroce, les Chouans bénéficiant de la connaissance du terrain, étant d’autre part les attaquants par surprise d’une armée "dominatrice et sûre d’elle".
-Si les Bleus (qui ont perdu 700 hommes) sont vainqueurs, ils enterrent leurs morts ou les ramènent à Vannes, lieu de leur cantonnement à une vingtaine de kilomètres. Ils en profitent pour pousser leur avantage en pourchassant les Chouans afin de les détruire définitivement.
-Si le résultat de la Bataille est mitigé, les Chouans se sont égaillés et les Bleus poursuivent leur retour à Vannes avec leur butin, leurs morts et blessés.
En réalité, les vainqueurs fuient à grande allure en abandonnant sur place leurs morts et leurs
blessés ainsi que la majorité de leur butin. Et les vaincus, les Chouans, restés sur place - curieux pour des vaincus – enterrent leurs morts dans les cimetières de Locmaria et de Locqueltas. Ils
mettront les Bleus tués au combat dans des fosses communes creusées dans les landes de Burgo et dans les landes de Morbouleau (en bas de Plaudren). Georges donnera quelques sous aux Bleus
prisonniers et blessés pour rentrer chez eux.
Curieux pour des vaincus !!
-Si les Chouans ont été vaincus, les Armées de Brune doivent parachever leur victoire. Or, sur l’insistance du Premier Consul, Georges et ses officiers sont invités (et non convoqués) à se rendre à un entretien portant sur la paix et des postes à prendre dans l’armée Républicaine. Cet entretien aura lieu au château de Beauregard. Georges accepte de déposer les armes en échange de garanties. Pour montrer ses bonnes dispositions Buonaparté fait annoncer par le général Brune que Georges sera reçu aux Tuileries.
Curieuses décisions concernant un vaincu !!
Il ne faut en effet pas perdre de vue la conduite expéditive de Buonaparté avec un autre célèbre chef Chouan le comte Louis de Frotté (voir article ci-dessous).
L’entrevue aura donc lieu au Tuileries, il y a à peu près 210 ans. Le Premier Consul traitera avec condescendance son interlocuteur. Georges confiera quelques temps après à Hyde de Neuville :"Ah! si vous saviez ce que j'ai eu envie de prendre ce petit homme entre mes bras et de serrer, serrer, serrer ! A l'étouffer !".
Ah! si Georges avait cédé à son envie ! Il en aurait sauvé sa vie, celle de ses 11 compagnons d’échafaud (12 personnes guillotinées en 27 minutes le 25 juin 1804), il aurait épargné la vie de plus d’un million de soldats morts sur les champs de bataille napoléoniens et celle de centaines de milliers de civils des pays conquis. Georges ignorait – car nous ne savons ni le jour ni l’heure - que quatre ans exactement après cette réception houleuse aux Tuileries, il serait emprisonné au Temple, après sa capture dans le quartier du Panthéon par la police de François Réal (Fouché est alors en semi - disgrâce) et que la montée à l’échafaud serait proche. En prison, il fera cette réflexion désabusée à ses amis co-inculpés :"Messieurs, nous voulions rendre un roi à la France. Nous avons fait mieux, nous lui donnons un empereur... ".
C’était il y a un peu plus de deux cents ans.
Louis de Frotté
Notre Blog n'existait pas le 18 février ; il ne nous a donc pas été possible de rendre hommage au comte Louis de Frotté, fusillé avec ses six compagnons à Verneuil sur Avre, dans l'Eure, le 18 février 1800. Cette ville est située à 70 km d'Alençon et à 110 de Paris.
Louis de Frotté est un grand de la Chouannerie ; mais il fut auparavant un militaire ayant servi le Roi dès 1781 jusqu'à 1792, avant de rejoindre les armées du duc de Brunswick, étant à ses côtés lors de l'affaire de Valmy où eurent lieu les traficotages maintenant avérés pour laisser la victoire aux armées révolutionnaires. Il émigre en Italie, puis en Allemagne avant de rejoindre les émigrés en Angleterre. Revenu en France dans sa Normandie chérie, il a eu sous ses ordres jusqu'à onze mille hommes qu'il entraînait ou faisait entraîner tous les jours, marche, tir, initiation au combat et à l'embuscade, leur apprenant à tout savoir d'une guerre ordinaire ou de guérilla. Il refusa les accords de La Mabilais (comme Cadoudal) et se lança dans la Chouannerie à grande échelle, soulevant toute la Basse Normandie. Mais il fut bientôt confronté à Hoche qui avec ses bataillons convertissait à la paix, de gré ou de force, les régions soulevées de la Loire à la Bretagne, et s'était débarrassé de l'affaire de Quiberon, les Anglais n'ayant pas joué franc jeu (voir La Revue du SCB à paraître en juin). Après des alternances de victoires et de défaites il montrera à Buonaparte tout son mépris ; celui-ci en fera son ennemi personnel. L'Agence Royaliste de Paris, qui comptait d'anciens conventionnels dans ses rangs, était pour une monarchie constitutionnelle dont le roi Louis XVIII aurait eu pour premier ministre Buonaparte. Et ceux qui enrayaient ces plans fumeux étaient condamnés. Lâché par tous, Frotté fit savoir au général Hédouville qui commandait la pacification (Louis Lazare Hoche étant décédé en Allemagne en 1797) qu'il se soumettait, comme tous les autres chefs Chouans. Le général Guidal lui fit remettre un sauf-conduit pour lui et ses six officiers. Arrivés à Alençon le 15 février, on les fit patienter. Et le 18 février à minuit, le sauf-conduit étant épuisé, les sept hommes furent arrêtés, jugés comme rebelles, sans avocat, par une cour militaire et condamnés à mort. Leur dernier soir ils demandèrent une bouteille de vin. Ils trinquèrent avec un fort "Vive le Roi" puis ayant vidé leurs verres ils les jetèrent, ainsi que la bouteille, contre un mur pour que personne ne les récupère. Ils furent fusillés contre le mur du cimetière de Verneuil au matin, et abandonnés là. Ils furent inhumés sommairement plus tard.
Le 19 février 2000, nous étions près de mille dans l'église paroissiale de La Madeleine pour entendre la messe de Requiem célébrée selon le rite Tridentin. Le maire était présent, accompagné de son conseil municipal.
Une anecdote intéressante: C'est l'adjoint communiste à la culture qui avait soutenu les organisateurs de la commémoration, contre le maire UDF qui n'en voulait pas. A ma question étonnée, cet élu me répondit :" Louis de Frotté s'est levé pour défendre le peuple opprimé par la bourgeoisie parisienne et contre la dictature."
Etonnant non ?
Persécution du catholicisme par la Révolution
Notre Association étant fidèle à l’Eglise Catholique Romaine et à sa continuité (car si nous croyons en Dieu, à la sainte Trinité, donc au Saint-Esprit, nous savons le rôle de Celui-Ci dans l’élection du pape, aux conséquences de celle-ci et alors à notre méconnaissance des plans de Dieu) nous ne pouvons que penser que la lutte est ouverte entre Elle et satan. D’ailleurs les premières vraies attaques de la Révolution furent, à part quelques broutilles, contre l’Eglise ; la confiscation de ses biens l’asphyxie financièrement, la suppression des vœux des membres du clergé régulier - de quoi se mêle un pouvoir politique dans une affaire religieuse privée où l’Etat ne dicte pas sa loi sur le plan spirituel- la fermeture des monastères, le serment imposé à tout le clergé l’empêchent d’exercer sa mission apostolique et asphyxient ainsi spirituellement une population qui vit en totale osmose avec son Dieu. Cette lutte contre l’observance et l’ordonnancement de la société religieuse catholique est bien la marque démoniaque de la Révolution. Il ne s’agit pas d’élucubration sur un éventuel complot mais la simple constatation de faits qui s’enchaînent avec une belle constance : la disparition physique et spirituelle de l’Eglise, alors qu’Elle n’est plus au XVIII ème siècle la force temporelle qu’elle a pu représenter. Autre constatation des faits, si cette puissance temporelle avait encore existé, il en aurait découlé une puissance spirituelle. Alors comment expliquer le succès des différents prédicateurs dont, dans l’Ouest, Louis-Marie Grignon de Montfort ?
Il est amusant - enfin, si l’on veut – de lire sous la plume de l’historien « spécialiste de l’histoire des Frères Trois Points » Daniel Ligou :" Contrairement à la théorie du complot maçonnique dénoncé en 1797 par l'abbé Barruel, les maçons font plutôt profil bas en 1789 ". Sans se vanter de leur appartenance aux Loges, ils sont tous là pourtant en commençant par Louis Philippe dit Egalité, Mirabeau, Robespierre, Barère etc… Les Loges travaillent dans l’ombre, peaufinent leurs bouleversements l’équerre et le compas dans l’œil. Ennemie du Catholicisme la Franc-maçonnerie dit vouloir le bonheur du peuple, sans dieu ni obscurantisme. Elle créera, ou fera créer la déesse Raison pour détourner les idolâtres vers un culte païen que Robespierre supprimera pour le remplacer par le Culte à l’Être Suprême. Il en perdra la tête !
Oui la Révolution fut bien anti-catholique, dès 1789, sous le Roi Louis XVI, sous la Convention et sous le Directoire. Seul le Concordat créera avec la papauté un accord de bric et de broc. En pourcentage de catégorie « professionnelle » c’est le clergé qui a le plus souffert de la Révolution. Dire le contraire est soit de la malfaisance, soit un manque de connaissance, soit un ronronnement intellectuel.
SCB et contre Revolution
Une
question est posée concernant le terme de contre Révolution utilisé dans un article. Ci-dessous la définition que l’on trouve sur Internet ; l’article est cosigné par Jean-Clément
Martin :
« Par la suite, sont contre-révolutionnaires les mouvements politiques qui nient toute légitimité à la Révolution de 1789 ou la partie du discours d’un mouvement politique qui nie cette légitimité, et qui militent afin d’en annuler une partie des effets.L’historien René Rémond les appelle les Légitimistes. C’est ainsi que la plupart des Monarchistes post-révolutionnaires, en tant que partisan d’un retour partiel ou complet à l’Ancien Régime, sont contre-révolutionnaires. Le parti légitimiste disparaît en 1902 suite au ralliement à la République de la majorité de ses députés à la demande du pape. Ils rejoignent alors le parti conservateur. Le mouvement contre-révolutionnaire des légitimistes survit actuellement en France, notamment par l'Union des Cercles Légitimistes de France et le bimestriel le Lien légitimiste. »
A la lumière de cette explication qui est claire, la position du Souvenir Chouan de Bretagne est définie dans le terme écrit de contre Révolution, sans tiret entre les deux mots dont le deuxième est marqué d’une majuscule ; c’est à dire rappeler les malheurs qui se sont abattus sur la France à partir des idées révolutionnaires, lesquelles entraîneront un soulèvement de plus de 60 départements (sur 83 !).Or le but du Souvenir Chouan de Bretagne se situe dans le cadre de l’Histoire de 1790 à 1832.
Notre Association n’a pas vocation à se soulever contre la République ni à demander qu'elle fasse repentance pour les Révolutionnaires et leurs exactions comme elle a l’habitude de le faire sur d’autres sujets –même ceux qui ne la concerne pas comme les Croisades, l’esclavage, la Saint Barthélémy, etc -.
Nous demandons simplement que les pages de l’Histoire qui nous concerne et que nous tournons soient enseignées dans leur Vérité et non pas travesties par des historiens qui se disent tels alors qu’ils ne sont que serves ou trop fainéants pour consulter les Archives, car ainsi que le dit Reynald Secher : « Tout est écrit ». Le but de notre Association est d’apporter des informations qui puissent permettre de lire l’Histoire à l’endroit, pour tous et particulièrement les plus jeunes. C’est pour cela que nous avons en lien les Editions Reynald Secher et Pays et Terroirs afin de consulter de bonnes, saines et vraies lectures.
Il n’y aura pas de contrôle de connaissance, il n’y aura pas de Q.C.M., il n’y aura pas de risque d’embrigadement ni de répression en cas de départ de l’Association.
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Révision du Révisionnisme officiellement enseigné.

Depuis la reddition de la Bastille, le 14 juillet 1789, les humeurs et idées sont en mouvement. Tout le mouvement devait cesser avec la Fête de la Fédération le 14 juillet 1790. Mais sous la pression de la franc-maçonnerie et de la philosophie des Lumières la recherche du bonheur du peuple doit se poursuivre ; la Constituante cède la place à la Législative, puis à la Convention, laquelle amènera La Terreur à laquelle succèdera le Directoire dont la majorité des députés est issue de la Convention. Bonaparte fera chuter le Directoire et proclamera le Consulat dont il occupera la première et essentielle place ; le Sénat le nommera Empereur. L’Empire se terminera, durant l’interlude des 100 jours, dans le massacre de Waterloo.
Ensuite viendront les monarchies de Louis XVIII et de Charles X (celui-ci dernier roi sacré à Reims).
Louis-Philippe amène une monarchie républicaine –son système est « République Française/ Liberté Egalité Fraternité/ » (Voir La Revue du SCB N°28)- son premier combat se fera contre ceux qui, comme les Chouans, ont défendu la Monarchie. Pusillanime il abdiquera le 24 février 1848, il y a 162 ans. Après quelques aléas le pouvoir passera entre les mains du prince Napoléon, puis empereur Napoléon III. La défaite de Sedan en 1870 signera sa chute.
Il faut se souvenir que, comme son oncle, il sera un empereur républicain, comme l’ont été avant eux les empereurs romains dont ils se complaisaient tant à copier le système. Napoléon I aura l’audace de convoquer le Pape Pie VII qu’il cantonnera dans un rôle de figurant pour faire croire à un sacre catholique. Son neveu se contentera d’être le premier président de la République élu au suffrage universel avec 74% des voix uniquement masculines.
La chute du second Empire amènera la Troisième République et enfin le système parlementaire soi-disant démocratique.
On peut donc dire que le système révolutionnaire a perduré de 1789 à 1848 sauf les deux intermèdes légitimistes.
Il ne faut pas confondre contre Révolution et anti- Républicanisme, même si la Révolution a accouché de la République.
Le président du Souvenir Chouan de Bretagne