UN MIRACLE ? NON, la Vérité comme Il l'a annoncée.
L’évêque de Legnica, Mgr Zbigniew Kiernikowski, a annoncé par un communiqué daté du 10 avril, la reconnaissance d’un miracle eucharistique dans l’église Saint-Hyacinthe de la ville.
Le jour de Noël 2013, une hostie était tombée par terre au moment de la communion. Elle fut mise dans de l’eau, comme on le fait de plus en plus, afin qu’elle se dissolve. Mais au lieu de se dissoudre il apparut des taches rouges. Mgr Stefan Cichy, qui était alors l’évêque de Legnica, nomma une commission pour étudier le phénomène. Un fragment de l’hostie fut prélevé et envoyé au laboratoire de médecine légale. Lequel a conclu qu’il s’agissait d’un fragment de muscle strié « très similaire au myocarde avec des altérations qui apparaissent souvent pendant l’agonie ». L’analyse ADN a conclu qu’il s’agit de myocarde humain.
En janvier dernier, le nouvel évêque, Mgr Kiernikowski, a envoyé ces conclusions à la congrégation pour la doctrine de la foi. Le miracle a été reconnu, et, conformément aux recommandations reçues de Rome, il a demandé au curé de la paroisse que soit aménagé un endroit approprié pour l’adoration de la « Relique ».
Il conclut : « J’espère que cela servira à approfondir le culte de l’Eucharistie et aura un effet en profondeur sur la vie des gens qui se trouveront en face de la Relique. Nous voyons le Signe mystérieux comme un acte extraordinaire d’amour et de bonté de Dieu, qui vient vers hommes dans une suprême humiliation. »
L’évêque de Legnica, Mgr Zbigniew Kiernikowski, a annoncé par un communiqué daté du 10 avril, la reconnaissance d’un miracle eucharistique dans l’église Saint-Hyacinthe de la ville.
Le jour de Noël 2013, une hostie était tombée par terre au moment de la communion. Elle fut mise dans de l’eau, comme on le fait de plus en plus, afin qu’elle se dissolve. Mais au lieu de se dissoudre il apparut des taches rouges. Mgr Stefan Cichy, qui était alors l’évêque de Legnica, nomma une commission pour étudier le phénomène. Un fragment de l’hostie fut prélevé et envoyé au laboratoire de médecine légale. Lequel a conclu qu’il s’agissait d’un fragment de muscle strié « très similaire au myocarde avec des altérations qui apparaissent souvent pendant l’agonie ». L’analyse ADN a conclu qu’il s’agit de myocarde humain.
En janvier dernier, le nouvel évêque, Mgr Kiernikowski, a envoyé ces conclusions à la congrégation pour la doctrine de la foi. Le miracle a été reconnu, et, conformément aux recommandations reçues de Rome, il a demandé au curé de la paroisse que soit aménagé un endroit approprié pour l’adoration de la « Relique ».
Il conclut : « J’espère que cela servira à approfondir le culte de l’Eucharistie et aura un effet en profondeur sur la vie des gens qui se trouveront en face de la Relique. Nous voyons le Signe mystérieux comme un acte extraordinaire d’amour et de bonté de Dieu, qui vient vers hommes dans une suprême humiliation. »
Voir la suite sur le Blog de Yves Daoudal.
Le miracle serait qu'il soit rendu un peu plus de respect envers cet aspect du Corps du Christ ! Qui n'est pas qu'un simple bout de pain et que, parfois tombé à terre, les prêtres lui manifestent un peu plus de respect en le relevant ! J'ai vu, lors de la messe des 20 ans du SCB, dans le parc du château de Penhoët en Grand Champ le jeune célébrant (ordonné huit jours plus tôt) pratiquer un vrai rite purificatoire. Un immense respect et non pas un simple ramassage d'hostie, ce qui avait été fait durant la communion, mais, l'endroit étant marqué, il a fait disparaître dans le sol les quelques minuscules parcelles, en versant de l'eau à l'endroit de la chute, chaque particule d'hostie étant, quelque soit sa taille, toujours la Présence réelle en Son Entier !
Dans une église, j'ai vu une hostie échappant des mains d'un prêtre. Un laïc est allé la chercher sous les chaises. Point ! Une autre fois le célébrant marchant sur son aube et fit tomber quelques hosties, qui furent ramassées en bloc par le prêtre et un enfant de choeur. Point !